À l’automne 2024, le FC Zurich projette une image défensive et autosatisfaite, exacerbée par des comportements agressifs des dirigeants et des supporters. Les incidents violents sur le terrain et les réactions virulentes de l’entraîneur Ricardo Moniz témoignent d’une ambiance tendue. La direction, semble indifférente aux critiques et évite de prendre ses responsabilités, ce qui nuit à la cohésion sociale et pose des risques financiers pour le club. Une prise de conscience et un changement d’attitude sont urgents.
Une Image Négative du FC Zurich à l’Automne 2024
Le FC Zurich semble adopter une attitude défensive et agressive à l’automne 2024, laissant une impression désagréable. Dans le contexte de deux derbies zurichois, cette perception se transforme en une image d’un club qui célèbre l’autosatisfaction, se retranchant derrière des murs et refusant d’accueillir des critiques constructives.
Comportement des Dirigeants et Réactions des Supporters
Ce comportement est perceptible dans les actions du propriétaire et président Ancillo Canepa ainsi que de l’équipe dirigeante. Il se manifeste également dans l’attitude des supporters, tant dans le stade qu’en dehors. L’autosatisfaction du FC Zurich semble s’être infiltrée dans chaque recoin de la ville.
Cette atmosphère d’agression latente résulte d’une série d’incidents récurrents sur le terrain, lors des conférences de presse, dans les tribunes et à travers la ville. Deux joueurs du FCZ ont récemment été expulsés pour violence, tandis que l’entraîneur Ricardo Moniz a réagi de manière virulente après le dernier derby, insultant ouvertement les journalistes et dénigrant l’arbitre, ce qui a conduit à une enquête disciplinaire.
Le comportement de Moniz n’est pas une nouveauté et reflète l’image que le FC Zurich a choisi de projeter, avec un entraîneur qui ne recule pas devant les attaques verbales lorsque les choses ne vont pas dans son sens. Le président Canepa et le directeur sportif Milos Malenovic semblent indifférents à cette situation, se contentant des résultats actuels tout en négligeant de rappeler leur entraîneur à un minimum de décence.
La communication du club, avant les derbies, a également été révélatrice. Canepa et le responsable de la sécurité Luca Maggi ont affirmé que le club ne porterait pas la responsabilité en cas d’incidents violents, blâmant plutôt des individus isolés ou la société dans son ensemble. Il n’y a jamais eu d’appel à la responsabilité des supporters du FCZ pour leurs comportements.
Cette attitude passive de la direction permet aux supporters de se soustraire à toute remise en question de leurs actions. En réponse aux déclarations des dirigeants, les supporters ont choisi un lieu de rassemblement qui a conduit à une escalade de la situation.
Une prise de position claire et une tentative de désescalade de la part de la direction auraient été essentielles, mais rien de tel n’a eu lieu. Il est évident que la raison devrait prévaloir, mais celle-ci semble manquer au sein du club. Au FC Zurich, les notions de responsabilité et de bon sens semblent avoir disparu, laissant place à une dynamique « noir ou blanc ». Cela a influencé les supporters, créant une atmosphère d’autosatisfaction qui nuit à la coexistence dans la ville et pèse lourdement sur les finances publiques.
Le club persiste à rechercher des coupables à l’extérieur, que ce soit l’entraîneur Moniz, le président Canepa ou le directeur sportif Malenovic. Il est grand temps que la direction du FC Zurich prenne enfin ses responsabilités, sinon le club risque de se heurter à de sérieux problèmes à l’avenir.