Sont également préoccupants les
sur les propriétaires de certains foyers de soins à but lucratif à Toronto qui vendent leurs installations à des promoteurs immobiliers, une décision qui entravera certainement les plans du gouvernement de l’Ontario pour 60 000 lits de soins de longue durée nouveaux ou améliorés d’ici 2028.
Qu’est-ce que les familles qui envisagent l’option de soins de longue durée sont censées faire entre-temps ? Et qu’en est-il de ceux dont les proches seront transférés dans un autre établissement qu’ils n’auront pas choisi une fois que leurs installations actuelles fermeront leurs portes ? La réponse à ces questions est claire : faites un plan bien avant d’en avoir besoin.
La plupart des gens ne sont pas pleinement conscients des conditions actuelles et préexistantes dans les établissements de soins de longue durée jusqu’à ce qu’ils soient confrontés à une crise sanitaire nécessitant des décisions rapides concernant un placement. Je crois que la meilleure stratégie pour les personnes âgées en bonne santé est de proposer un plan qui leur permettrait de vieillir chez elles dans la dignité, un plan qui pourrait inclure une variété d’options telles qu’une suite pour grand-mère, la cohabitation, des dispositions pour les soins à domicile si nécessaires à l’avenir, ou une résidence pour retraités où certains services d’aide à la vie autonome sont fournis. Tous ces modes de vie leur assureraient autonomie et sécurité.
Les aînés doivent prévoir toute éventualité, y compris l’option de soins de longue durée, si cela devenait nécessaire pour eux-mêmes ou pour un être cher. Certains experts en soins aux personnes âgées conseillent que le meilleur plan pour assurer la sécurité et les soins appropriés d’un être cher dans un établissement de soins de longue durée consiste à embaucher un aide-soignant privé ou une infirmière pour fournir un meilleur niveau de soins que les maisons de soins infirmiers peuvent ‘t toujours livrer. Il pourrait être tout aussi avantageux de faire en sorte que l’aide-soignant privé ou l’infirmière partage l’autorité de la procuration pour les soins personnels du résident. Cela couvrirait toutes les bases et donnerait la tranquillité d’esprit si un soignant ou un mandataire spécial ne pouvait pas être à l’établissement de façon régulière.