jeudi, décembre 19, 2024

Citigroup vend des obligations d’érable dans le cadre de la première transaction d’envergure depuis 2015

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Citigroup Inc. a vendu une importante offre de titres de créance sur le marché obligataire en dollars canadiens pour la première fois depuis près d’une décennie, alors que les banques américaines cherchent à diversifier leur financement après avoir publié leurs bénéfices.

La banque a émis pour 1 milliard de dollars de billets à taux fixe ou variable qui arrivent à échéance dans quatre ans et peuvent être rappelés après trois ans, selon des personnes connaissant le sujet. L’accord rapporte 1,07 point de pourcentage au-dessus des références canadiennes, après des discussions initiales dans la fourchette de 1,07 à 1,10 point de pourcentage, ont déclaré les sources, qui ont demandé à ne pas être identifiées car elles ne sont pas autorisées à en parler.

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L’offre a attiré des commandes plus de deux fois supérieures à celles de la transaction auprès de 48 acheteurs, selon les sources. Une composante à taux variable de l’offre a été abandonnée avant la fixation du prix.

Un porte-parole de Citigroup n’a pas répondu à une demande de commentaire.

Il s’agit de la première grande offre publique de Citigroup au Canada depuis 2015, selon les données compilées par Bloomberg. Cette transaction de 600 millions de dollars comporte un coupon de 4,09 pour cent et arrivera à échéance l’année prochaine. La banque a vendu de la dette libellée en dollars en petits morceaux en 2021 et 2023, selon les données compilées par Bloomberg.

L’accord de lundi intervient après que la banque a annoncé des bénéfices meilleurs que prévu il y a plus d’une semaine. Il s’agit de la deuxième émission d’obligations d’érable d’une grande banque américaine au cours de la semaine dernière, après celle de Wells Fargo & Co. de 1,25 milliard de dollars qui a attiré des commandes deux fois plus importantes.

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Les deux accords ont été conclus à un moment où de nombreuses entreprises canadiennes, y compris des banques, se rendent à l’étranger pour vendre de la dette, souvent à de meilleurs prix. Cela a conduit à un ralentissement de l’offre et à une soif d’investisseurs cherchant à déployer des liquidités.

Bloomberg.com

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