Chère Sophie : Les articles publiés amélioreront-ils mes chances d’obtenir un visa O-1A ou H-1B ?

Voici une autre édition de « Dear Sophie », la colonne de conseils qui répond aux questions liées à l’immigration sur le travail dans les entreprises technologiques.

« Vos questions sont essentielles à la diffusion des connaissances qui permettent aux gens du monde entier de s’élever au-delà des frontières et de poursuivre leurs rêves », déclare Sophie Alcorn, avocate spécialisée en immigration dans la Silicon Valley. « Que vous soyez dans les opérations humaines, un fondateur ou à la recherche d’un emploi dans la Silicon Valley, j’aimerais répondre à vos questions dans ma prochaine chronique. »

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Chère Sophie,

Je suis le fondateur et PDG d’une startup à Istanbul, et j’ai entendu dire que des articles dans des publications sur un entrepreneur ou une startup peuvent être un gros plus lors d’une demande de visa O-1A ou H-1B.

Est-ce vrai? Quelles publications sont valides ? Devraient-ils être de niveau 1 ou en anglais ? Merci pour votre aide!

— Tenace en Turquie

Cher Tenace,

Merci de m’avoir contacté avec vos questions ! C’est le moment idéal pour commencer à mettre en œuvre vos plans d’immigration avant que les augmentations des frais d’immigration n’entrent en vigueur.

Gardez à l’esprit que les visas O-1A et H-1B, comme la plupart des autres visas de travail, nécessitent un parrain ou un agent employeur basé aux États-Unis.

Alternatives aux H-1B et O-1A

Avant de répondre à vos questions, il y a deux autres visas que vous devriez également envisager, en particulier si votre startup n’est pas encore configurée pour faire des affaires aux États-Unis.

Si vous travaillez pour votre startup depuis au moins un an, vous voudrez peut-être envisager un visa L-1A pour un cadre ou un dirigeant transféré au sein de l’entreprise. Avec un L-1A, vous pouvez venir aux États-Unis pour ouvrir un bureau pour votre startup.

Contrairement au H-1B ou O-1A, le L-1A a peu de conditions d’éligibilité. Elle offre une durée de séjour maximale de sept ans et un accès direct à une carte verte : la carte verte EB-1C pour un cadre ou un dirigeant d’une multinationale.

Une autre option est le visa E-2 pour les investisseurs conventionnés, qui est une excellente option pour les fondateurs internationaux dont le pays d’origine a un traité commercial avec les États-Unis. Le Département d’État américain tient à jour une liste des pays signataires d’un traité, qui comprend la Turquie. L’E-2 permet à un fondateur international de vivre et de travailler aux États-Unis.

Consultez cette précédente colonne Chère Sophie dans laquelle je discute des avantages et des inconvénients du L-1A et du E-2.

Une image composite de l'avocate en droit de l'immigration Sophie Alcorn devant un arrière-plan avec un logo TechCrunch.

Crédits image : Joanna Buniak / Sophie Alcorn (Ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Voyons maintenant comment un article dans une publication peut vous aider dans votre voyage aux États-Unis

Ouvrages

Être présenté dans une publication est l’un des critères de qualification pour le visa de capacité extraordinaire O-1A. Cependant, ce n’est pas du tout une exigence pour le visa d’occupation spécialisée H-1B.

À bien des égards, l’obtention d’un visa H-1B est basée sur la chance, car vous devez participer à une loterie annuelle. L’employeur parrain doit également répondre à certaines exigences de base, notamment:

  • Offrir un emploi qui nécessite des connaissances spécialisées et au moins un baccalauréat ou l’équivalent.
  • Enregistrement du candidat H-1B pour la loterie annuelle en mars.
  • Promettre de payer au bénéficiaire du visa le salaire en vigueur en fonction de l’emploi et du lieu.
  • Attestant que l’embauche du candidat au visa n’aura pas d’impact négatif sur les salaires et les conditions de travail des travailleurs américains.

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