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La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer le guide : Bennett, Claire-Louise. Caisse 19. Penguin Random House Royaume-Uni, 2022.
Le roman de Claire-Louise Bennett Caisse 19 dépeint la vie et les expériences d’une écrivaine anonyme. Bien qu’elle soit la seule narratrice du roman, elle bascule entre les points de vue à la première personne du pluriel, à la première personne du singulier, à la troisième personne et à la deuxième personne. Sa résistance à s’installer sur un point de vue narratif édicte la recherche du narrateur pour l’auto-actualisation. En effet, tout au long de son récit, la narratrice recherche dans ses souvenirs des indices sur son moi le plus essentiel. Le roman se rebelle contre les notions traditionnelles de l’intrigue narrative linéaire, obscurcissant les conventions de structure et de forme, et brouillant les frontières entre le réel et l’imaginaire, le souvenir et le vécu. Par souci de clarté, le résumé suivant s’en tient à un mode d’explication plus régulier.
Dans le chapitre I, « A Silly Business », la narratrice se souvient de ses habitudes de lecture d’enfance. Elle passait la majorité de son temps avec des livres. Elle a emmené des livres avec elle sur la pelouse. Elle s’allongeait dans l’herbe et lisait. Elle se rendait régulièrement à la bibliothèque. Parfois, elle sortait des piles de livres à la fois, tandis qu’à d’autres moments, elle ne vérifiait qu’un seul livre à la fois. Elle était douée pour simplement s’asseoir avec des livres et laisser leur proximité l’édifier. Il y avait peu de livres chez elle, car ses parents les avaient cachés dans des meubles interdits. Malgré la nature apparemment secrète des livres, la lecture définit la vie, la réalité et l’identité du narrateur.
Dans le chapitre II, « Bright Spark », la narratrice se souvient de ses souvenirs de l’école primaire. Elle a particulièrement apprécié ses cours avec M. Burton. Tout le monde aimait M. Burton, parce qu’il était drôle et divertissant. Cependant, plus il partageait de camaraderie avec les camarades de classe masculins du narrateur, plus elle en venait à le dédaigner. Afin de le punir, elle a lancé une farce, dans laquelle elle et ses camarades de classe ont volé les livres qu’il avait réussi à récupérer auprès des étudiants à la fin du trimestre.
Se sentant coupable de la farce, le narrateur s’est rendu au bureau de M. Burton pour s’excuser. Au cours de cette réunion, M. Burton a révélé qu’il avait découvert les dessins et écrits secrets de la narratrice au dos de son cahier d’exercices et a demandé à en voir plus. Les histoires que la narratrice a partagées avec lui au cours des semaines suivantes l’ont fait se sentir proche de son professeur.
Au chapitre III, « N’apporterez-vous pas les oiseaux ? », depuis que l’ex-petit ami de la narratrice a détruit son manuscrit inachevé, elle essaie de reconstruire l’histoire. L’histoire parlait d’un homme nommé Tarquin Superbus. Dans l’histoire, Superbus acquiert une vaste bibliothèque. Parce qu’il est tellement ravi par la bibliothèque, il est choqué lorsque son ami, le Docteur, l’informe que tous les livres sont vides, mais pour une seule phrase. Bien que le Docteur trouve la phrase, Superbus ne peut la localiser nulle part. Vaincu par la frustration, Superbus allume tous les livres en feu.
La narratrice admet que sa mémoire du conte Superbus est probablement inexacte. Cela fait de nombreuses années qu’elle n’a pas écrit l’histoire, et elle a lu et écrit beaucoup de choses depuis. Elle poursuit en détaillant tous les livres qu’elle a lus au fil des ans et la manière dont chacun l’a touchée. Ces livres lui ont non seulement sauvé la vie à de nombreuses reprises, mais ont également clarifié et authentifié ses expériences émotionnelles les plus ineffables.
Au chapitre IV, « Jusqu’à toujours », la narratrice se souvient des histoires et des dessins qu’elle cachait autrefois au dos de ses cahiers d’école. Elle se souvient notamment d’avoir dessiné le portrait d’un homme. Ce dessin a ensuite inspiré son histoire d’une fille enfermée dans une pièce forcée de coudre les robes de ses sœurs pour l’éternité. Se souvenir de cette fille de son ancienne histoire fait comprendre au narrateur qu’il n’y a rien de pire pour une femme que d’être sans agence ou sans liberté.
Dans le chapitre V, « All Things Nice », alors que la narratrice fréquentait l’université à Londres, elle travaillait dans un supermarché. Un homme russe fréquentait le magasin et venait toujours à sa caisse. Pour survivre à la monotonie, le narrateur rêvassait de l’homme.
Au chapitre VI, « Nous étions le drame », la narratrice réfléchit à son anxiété et à sa dépression au fil des ans. Rappelant une série d’expériences à la maison et à l’étranger, la narratrice se rend compte que lorsqu’une femme se sent confinée ou rabaissée, lorsque ses mondes intérieur et extérieur s’abrasent, elle écrira une prose elliptique.
Au chapitre VII, « Woman Out of Nowhere », le narrateur loue une chambre mansardée dans une maison appartenant à une femme avec deux filles. Son mandat dans la salle donne à la narratrice la liberté de vivre et d’écrire comme elle le souhaite. Bien qu’elle s’inquiète initialement de la façon dont les autres pourraient percevoir ses habitudes, elle finit par dissiper ces inquiétudes. Elle se débarrasse des pièges sociétaux et littéraires qui l’ont limitée tout au long de sa vie, et écrit simplement d’elle-même et pour elle-même.
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