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Cela se rapproche de la cible convoitée de 2 % et suit l’un des cycles de hausse des taux d’intérêt les plus rapides de l’histoire moderne.
Cette semaine Down to Business s’entretient avec Louis-Philippe Rochon, professeur d’économie à l’Université Laurentienne de Sudbury, qui adopte une vision à contre-courant de la situation. Il estime que la hausse des taux d’intérêt n’a pas amélioré l’environnement inflationniste.
Au cours de la dernière année, Rochon a invité des économistes du monde entier à contribuer à son Blog de l’Institut de politique monétaire où ils sondent les nombreux impacts des politiques des banques centrales.
Il propose une critique pointue de ces politiques et postule que les taux d’intérêt ont peut-être fait plus de mal que de bien. Comme toujours, l’interview est éditée pour plus de clarté et de brièveté.
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