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La version suivante de ce poème a été utilisée pour créer ce guide : Williams, William Carlos. « C’est juste pour dire. » Les poèmes rassemblés : Volume I, 1909-1939 (Nouvelles Directions Publishing Corp., 1938).
Notez que toutes les citations entre parenthèses dans le guide font référence aux vers du poème dont les citations sont tirées.
« This Is Just To Say » est un poème de 1934 de William Carlos Williams composé de trois strophes en vers libres. Williams était une figure clé des mouvements littéraires moderniste et imagiste, et « This Is Just To Say » contient des thèmes des deux. Mouvement majeur de la fin du XIXe et du début du XXe siècle, le modernisme a répondu et rejeté les styles des mouvements littéraires passés comme le romantisme et le réalisme, qui étaient considérés par les modernistes comme des représentations étouffantes et inexactes de l’expérience humaine. Pour les modernistes, les anciennes façons d’écrire semblaient déconnectées de la vie moderne et d’un monde radicalement modifié par la Première Guerre mondiale. L’un des thèmes les plus identifiables de la littérature moderniste est son expérimentation formelle, caractéristique du mouvement dans lequel « Ceci est juste ». Dire” participe.
L’imagisme, le mouvement poétique particulier de Williams, était l’un des premiers sous-genres du modernisme. Comme les modernistes, les imagistes ont défié les conventions littéraires, en concentrant leurs œuvres sur une imagerie extrêmement précise comme moyen d’exprimer des thèmes et des idées plus larges. « This Is Just To Say » est un portrait classique de la poésie imagiste, écrit en vers libres (le style métrique préféré des imagistes) et structuré autour de l’image centrale des prunes mangées dans une glacière.
Le poème est un aveu de culpabilité centré sur la confession de son locuteur d’avoir mangé des prunes qu’il croit que le destinataire du poème avait également l’intention de manger. Écrite à la première personne, la première strophe du poème énonce les actions du locuteur, la deuxième strophe ajoute la relation des prunes avec le destinataire et la troisième strophe demande pardon tout en décrivant les qualités sensorielles des prunes.
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