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La version suivante du roman a été utilisée pour créer ce guide d’étude : Anderson, Laurie Halse. Cendres. Atheneum/Caitlyn Dloughy Books, octobre 2016.
Une fois aveuglée par son seul souci de retrouver et de libérer sa sœur, Isabel Gardener a compris le sens de la guerre révolutionnaire en termes de lutte pour la liberté des Noirs dans le roman Ashes de Laurie Halse Anderson lorsqu’elle a commencé à travailler avec un groupe de soldats continentaux noirs. Isabel et Curzon avaient cherché pendant cinq ans pour retrouver Ruth et l’éloigner de la femme qui avait séparé les sœurs lorsque leur recherche s’était terminée dans une plantation de Caroline du Nord. Leurs projets d’aller au Rhode Island ont été mis en échec lorsque Curzon a décidé de se réengager dans l’armée continentale, une cause qu’Isabel estimait à ce moment-là sans valeur. En voyant les Noirs et les Blancs se battre ensemble pour une même cause, Isabel a réalisé que la liberté pour tous était une cause pour laquelle il valait la peine de se battre.
Isabel et son ami Curzon ont cherché cinq ans pour retrouver Ruth, la sœur qui avait été enlevée à Isabel par leur cruelle maîtresse. Ils ont localisé la jeune fille dans une plantation en Caroline du Nord où Walter et Serafina, le couple âgé qui avait pris soin de Ruth depuis son arrivée, les ont tous aidés à s’échapper. Ils avaient l’intention de se rendre au Rhode Island où ils pourraient vivre comme des Noirs libres, mais furent contraints de s’arrêter à Williamsburg, où campait l’armée continentale, afin de trouver du travail et de se reposer.
Même si Isabel avait pensé devenir l’épouse de Curzon, les deux hommes n’étaient pas d’accord sur la valeur de la guerre d’indépendance en termes de liberté pour les Noirs. Isabel pensait que les Patriots se battaient uniquement pour s’affranchir des impôts britanniques, tandis que Curzon considérait la guerre comme un tournant dans la lutte pour la liberté des Noirs. Elle a cru que leur amitié avait pris fin lorsqu’il a annoncé qu’il allait se réengager dans l’armée. Ils ont convenu de se séparer et non plus l’un de l’autre.
Le jour où l’armée a quitté Williamsburg pour entamer un siège contre les Britanniques, Isabel a eu le sentiment que la femme pour laquelle elle travaillait dans une blanchisserie essayait de la tromper. La veille, quelqu’un était entré par effraction dans l’endroit où elle et Ruth dormaient et avait brûlé les papiers gratuits qu’Isabel avait forgés pour elles. Sentant qu’elle et Ruth étaient sur le point d’être remises en esclavage, Isabel prit Ruth et s’enfuit. Le seul endroit où elle pensait aller était l’armée.
Isabel a trouvé Eben, un sergent blanc qui était un ami de Curzon. Même si Isabel a dit à Eben qu’elle ne voulait pas que Curzon soit au courant de son sort, Eben a découvert qu’il n’avait d’autre choix que de veiller à ce qu’Isabel et Ruth soient prises en charge en les emmenant dans l’entreprise dont Curzon était membre. Eben savait qu’Isabel et Ruth y seraient acceptées parce que Curzon les avait inscrites pour aider l’entreprise en tant qu’épouse et sœur. Isabel était confuse par la façon dont les soldats la traitaient au début et l’appelaient l’épouse de Curzon, mais elle a joué le jeu. Ce n’est que quelques jours plus tard que Curzon a pu raconter à Isabel comment il l’avait inscrite comme épouse lors de son enrôlement afin qu’elle puisse l’accompagner et qu’il puisse voir qu’elle était en sécurité. Parce qu’ils se disputaient, il ne lui a jamais dit ce qu’il avait fait.
Au fur et à mesure que les deux passaient du temps ensemble dans le campement, leur amour s’est ravivé. Un jour qu’Isabel faisait partie des femmes qui bravaient les canons et les obus de mortier pour livrer de la nourriture aux soldats, Curzon lui dit qu’il l’aimait. Lorsqu’elle le revit ensuite, après son retour d’une attaque réussie contre une redoute britannique avec une blessure à la baïonnette, elle lui dit qu’elle l’aimait. Les deux se sont mariés plus tard.
Alors que les troupes américaines et françaises combattaient dans la bataille de Yorktown, Isabel réalisa que la guerre qu’elle avait dédaignée était une bonne cause. Elle se rendit compte que Curzon n’avait pas choisi la guerre pour elle lorsqu’il s’était enrôlé, mais qu’il était un homme capable d’aimer et de planifier non seulement à petite mais aussi à grande échelle. Après la capitulation des Britanniques à la bataille de Yorktown, les Noirs qui avaient soutenu les Britanniques en leur promettant d’obtenir leur liberté furent renvoyés chez leurs maîtres. Les Noirs dont les maîtres étaient introuvables étaient revendiqués comme propriété de la Virginie.
Curzon était en colère lorsqu’il a vu ces noirs être renvoyés en esclavage après qu’on leur ait promis leur liberté. Isabel lui a rappelé qu’ils semaient les graines du pays qu’ils espéraient que l’Amérique devienne. Elle était heureuse parce qu’elle et sa sœur étaient libres et ensemble.
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