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La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer ce guide d’étude : Greenwell, Garth. Ce qui vous appartient. Farrar, Straus et Giroux. 2016. Première édition. L’histoire est racontée à la première personne par un narrateur anonyme, professeur dans une prestigieuse école de langue anglaise à Sofia, la capitale de la Bulgarie.
Le livre commence par la description par le narrateur de sa première rencontre avec Mitko – dans des toilettes publiques connues pour être un lieu de rencontre pour les hommes homosexuels en quête de satisfaction sexuelle anonyme. La première rencontre entre le narrateur et Mitko est essentiellement une transaction financière : Mitko insiste pour être payé, et le narrateur, comme il le décrit, est si fortement attiré par lui que, contre son gré, il paie. Au cours des semaines et des mois qui suivent, la relation continue d’être financière, alimentée et définie par le désir croissant du narrateur pour le corps et la compagnie de Mitko. La première phase de la relation se termine lorsqu’un voyage dans une ville côtière se termine par une confrontation violente et que le narrateur renvoie Mitko de l’hôtel où ils séjournaient.
À ce stade, le récit change de sujet. Dans un long paragraphe, le narrateur décrit sa relation compliquée avec sa famille. Il parle d’une conversation avec sa sœur, qui lui révèle l’histoire familiale de sexualité imprudente et de violence émotionnelle ; de ses premières expériences et découvertes de son orientation homosexuelle ; et du rejet final auquel il a dû faire face de la part de son père homophobe.
Le livre revient ensuite sur la relation du narrateur avec Mitko, qui revient des années après la fin apparente de leur relation pour dire au narrateur qu’il (Mitko) a contracté la syphilis et qu’il (le narrateur) devrait se faire tester. Le narrateur décrit ensuite une conversation gênante avec son nouveau petit ami, qui est d’abord calme, puis bouleversé, puis calme et pragmatique à nouveau. Le narrateur se rend dans une clinique et se fait tester, découvrant qu’il est positif et qu’il doit se rendre dans une autre partie de la ville pour se faire soigner. Son voyage lui apporte un certain nombre de surprises, à la fois agréables et désagréables. En ce qui concerne cette dernière, il a des rencontres désagréables avec le personnel médical qui le juge ; il apprend qu’il ne pourra pas obtenir le type de traitement dont il a besoin ; et, à la suite de la réception de cette dernière information, apprend que Mitko lui a de nouveau menti. Lorsqu’il rentre chez lui, les conversations avec son petit ami et avec Mitko conduisent le narrateur à mettre une fois de plus fin à leur relation.
À ce stade, le récit change à nouveau de sujet et raconte l’histoire d’un voyage que le narrateur a fait avec sa mère lorsqu’elle est venue en Bulgarie pour une visite quelque temps après la fin de sa relation avec Mitko. Ce voyage, dit le narrateur, était avant tout une réconciliation entre lui et sa mère, qui s’étaient éloignés pendant plusieurs années. Au cours de ce voyage, écrit-il, ils ont rencontré un garçon voyageant avec sa grand-mère, le garçon rappelant Mitko au narrateur de plusieurs façons et l’obligeant également à reconsidérer ses opinions à son sujet.
Le roman se termine par une description de la rencontre finale du narrateur avec Mitko qui, au stade terminal d’une maladie, lui rend visite et pleure essentiellement ce qu’il est devenu. Le narrateur le nourrit, le réconforte, puis le renvoie chez lui, tandis qu’un jeune couple emmène son enfant chez eux pour que Mitko ne puisse pas passer trop de temps avec lui. Le roman se termine avec le narrateur regardant Mitko s’éloigner jusqu’à ce qu’il disparaisse, puis s’asseyant sur son canapé, la tête entre ses mains.
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