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La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer ce guide : Backman, Fredrik. Choses que mon fils doit savoir sur le monde. Simon et Schuster Canada, 2019.
Cette histoire d’amour paternité, écrite par le romancier suédois Fredrik Backman, est un recueil de lettres écrites à son fils sur les leçons qui, selon lui, seront importantes à mesure qu’il grandira. À travers de courts essais, des notes personnelles et d’autres écrits originaux, Backman crée un récit léger de la première année et demie de la vie de son fils.
Le roman de Fredrik Backman est divisé en 13 chapitres, chacun contenant diverses leçons qui, selon lui, profiteront à son fils lorsqu’il sera plus âgé. Le fils de Backman, dont le nom reste anonyme tout au long du roman, n’a qu’un an et demi au moment de la rédaction. Backman est une figure paternelle aimante mais immature qui ne se sent pas préparée au voyage à venir. Il intercale des références à la culture pop telles que des instructions sur la façon de terminer le niveau final de Monkey Island 3 entre les leçons importantes.
Au début du livre, Backman s’excuse de manière préventive auprès de son fils pour toutes les erreurs qu’il commettra inévitablement en tant que nouveau père, et souligne que tout ce qu’il fait était dans les meilleures intentions. Il continue en plongeant directement dans les leçons, en commençant par les caca, la technologie et les pressions exercées sur le parent moderne. La technologie est un thème commun tout au long du roman, et Backman explique comment elle a ajouté un stress supplémentaire aux parents, ne leur permettant pas de commettre les mêmes erreurs honnêtes que la génération précédente. Avec Google et la quantité d’informations accessibles d’un simple clic, les gens ont accès à toutes les informations du monde, ce qui rend la parentalité encore plus accablante qu’elle ne l’était déjà.
Après la technologie, Backman parle du populaire magasin de meubles IKEA. Il utilise le magasin comme cadre pour souligner l’importance du compromis et apprendre quand choisir ses batailles. Dans ce chapitre, il affirme que même si la plupart des règles doivent être respectées, comme les flèches qui vous guident dans IKEA, il existe une marge de manœuvre pour contester les règles dans le cas où cela profiterait à la société. Bien qu’il n’aime pas particulièrement le lieu, il explique avoir appris la valeur des relations plutôt que des objets matériels lors d’une de ses visites au magasin.
Ayant grandi en Europe, la popularité du football était omniprésente dans Backman, et il l’utilise comme métaphore pour expliquer la valeur d’appartenance à une communauté de personnes partageant les mêmes idées. Il conseille à son fils de trouver une communauté d’individus avec lesquels il peut se connecter, que ce soit par le biais du football ou autre. Il pense que le football sera le moyen pour eux de rester connectés à mesure qu’ils vieilliront.
Au fur et à mesure que les essais continuent d’affluer, le ton de Backman devient plus sentimental et ses anecdotes fournissent des leçons plus poignantes. Au lieu de discuter de sujets insignifiants, comme des girafes jouets et des sandwichs, il se concentre sur l’amour et la moralité. Il espère enseigner à son fils, dans l’ensemble, qu’il n’y a pas de réponse unique à quoi que ce soit, mais qu’il doit essayer d’apprendre et toujours travailler pour être la meilleure version de lui-même, quel que soit le scénario. Il explique que parfois la frontière entre le bien et le mal peut être floue et que, même s’il ne tolère pas les combats, la vie exige parfois que vous défendiez ce qui est juste.
Backman parle spécifiquement à son fils de sa relation avec sa femme et décrit ce qu’il considère comme important pour maintenir une relation saine. Il parle de sa femme et espère que son fils trouvera le type d’amour que lui et sa femme ont trouvé.
Pour clôturer le roman, Backman partage son expérience de mort imminente dans l’espoir de pouvoir transmettre à son fils la valeur de la vie et l’importance d’apprécier chaque instant.
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