Ce qu’auraient pu être les poètes


« Ce que les poètes auraient pu être » est tiré du premier recueil de poésie de Julianna Baggott, Ce pays de mèrespublié en 2001. Les poèmes de ce recueil peuvent être définis comme des histoires de famille, de changement et de croissance. Ce sont des poèmes sur l’enfance, les parents et les grands-parents, les fausses couches et les accouchements, et la métamorphose de fille en mère. Ce recueil est dédié à la mère de Baggott, Glenda, et à sa fille, Phoebe, ce qui est approprié, puisque les poèmes sont tirés des propres souvenirs de Baggott en tant que fille et mère. « Ce que les poètes auraient pu être » s’inscrit parfaitement dans ce recueil de souvenirs et de transformation.

Comme ses romans, la poésie de Baggott est autobiographique. « Ce que les poètes auraient pu être » est tiré du quatrième chapitre du recueil, qui comprend des poèmes qui ne semblent pas s’intégrer parfaitement dans les quatre autres chapitres de ce livre. Les poèmes de ce chapitre traitent de la spiritualité et de la religion, de la mort et de la torture pendant la guerre, et du fait d’être poète. Ce qu’ils ont tous en commun, cependant, est la réaction du poète aux événements ou aux personnes. « Ce que les poètes auraient pu être » reconnaît le cheminement que Baggott a entrepris pour devenir poète. Dans ce poème, Baggott explore plusieurs aspects du processus créatif du poète, notamment l’importance de l’imagination et de la créativité dans la production de poésie. Un aspect important de « Ce que les poètes auraient pu être » est la conjecture de Baggott sur ce que les poètes auraient pu faire de leur vie s’ils avaient choisi des chemins de carrière différents. Baggott spécule sur le rôle que joue la poésie dans la vie du poète. Elle se demande également ce que les poètes auraient fait à la place s’ils avaient choisi de ne pas écrire. Elle se demande enfin si le fait d’accorder plus d’attention aux cours à l’école n’aurait pas pu les rendre plus intéressants.



Source link -2