Ce FPS soviétique d’une noirceur oppressante comprend désormais un petit ensemble de trains miniatures tout simplement adorable

Holding sickle in view looking at a model train set rendered in HROT.

Malgré son atmosphère incroyablement sombre et son ultra violence, le FPS Hrot reste l’un des jeux les plus drôles auxquels j’ai jamais joué. Vous pouvez jouer du piano, lire votre Lénine, embrasser les portraits du président tchécoslovaque Gustáv Husák (s’ouvre dans un nouvel onglet) (qui est également le boss final du deuxième épisode), et jouez à un clone en jeu de Game & Watch basé sur le dessin animé soviétique, Nu, Pogodi ! (s’ouvre dans un nouvel onglet)

Ce sens de l’humour grivois est bel et bien vivant dans notre premier aperçu du troisième et dernier acte de Hrot, Gastroscopy. Après la sortie de l’épisode 2 : La Dégustation (s’ouvre dans un nouvel onglet) cet été, le développeur solo Spytihněv a travaillé dur sur la conclusion du jeu, et ils ont sorti une sorte de démo le 27 novembre : E3M3, Roztyly (s’ouvre dans un nouvel onglet).

Source-67