vendredi, février 21, 2025

CBS diffuse une émission Ride Along avec la police allemande pendant un raid anti-liberté d’expression, après avoir lié la liberté d’expression aux nazis

La récente enquête de « 60 Minutes » met en lumière la répression de la liberté d’expression en Allemagne, illustrée par une perquisition policière à l’aube chez un citoyen accusé de publier un dessin animé raciste. Ce reportage fait écho aux déclarations de Margaret Brennan sur l’utilisation de la liberté d’expression par les nazis pour commettre des atrocités. Les lois allemandes sur les discours de haine soulèvent des préoccupations quant à la censure et à l’impact sur la critique politique.

La Répression de la Liberté d’Expression en Allemagne

Le programme « 60 Minutes » de CBS a récemment révélé des images marquantes de la police allemande effectuant une perquisition à l’aube dans le domicile d’un citoyen, en réponse à des publications controversées sur Internet. Ce reportage a coïncidé avec une déclaration de Margaret Brennan, qui a suggéré que les nazis avaient utilisé la liberté d’expression comme un outil pour commettre un génocide.

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Sharyn Alfonsi, correspondante de « 60 Minutes », a suivi six agents de police allemands lors d’une opération visant un homme accusé de « publier un dessin animé raciste en ligne. » Lors de l’opération, les forces de l’ordre ont saisi son téléphone portable et son ordinateur portable, dans le cadre d’une initiative plus large contre le « discours de haine en ligne », comme l’ont précisé les procureurs.

Ce reportage a été diffusé peu après que Margaret Brennan ait confronté le sénateur Marco Rubio sur la montée de l’autoritarisme naziste et son lien avec la liberté d’expression. Rubio a vivement contesté cette affirmation, soulignant que l’Allemagne nazie n’avait pas de liberté d’expression, mais plutôt un régime répressif qui a éradiqué toute forme d’opposition.

JD Vance, vice-président, a réagi sur Twitter en qualifiant les propos des médias de « fous » et en questionnant l’idée que la liberté d’expression puisse être responsable de l’Holocauste. Elon Musk a également partagé son opinion, rappelant que l’une des premières actions d’Hitler au pouvoir fut d’imposer une censure stricte.

Stephen Miller, éditeur au Spectator, a souligné l’ironie de la diffusion de ces deux segments par CBS le même jour, mettant en avant le contraste entre les déclarations de Brennan et les images soutenant la répression des discours en Allemagne.

Le segment de « 60 Minutes » a également mis en lumière les lois allemandes sur l’insulte, illustrant que les soi-disant « crimes de haine en ligne » peuvent entraîner des saisies permanentes d’appareils électroniques. Les procureurs ont même évoqué un lien entre le discours de haine en ligne et des actes violents, comme l’assassinat d’un politicien allemand en 2019.

Bien que CBS n’ait pas divulgué d’informations précises sur les publications ayant conduit à cette perquisition, le reportage a évoqué des exemples de cas similaires où des critiques politiques avaient entraîné des interventions judiciaires, suscitant des accusations de censure excessive.

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