Canucks : Quinn Hughes et Ethan Bear sont les plus touchés par les risques professionnels

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Quinn Hughes a un nez pour la zone offensive et un nez qui attire les rondelles.

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Le défenseur aux pieds rapides des Canucks de Vancouver peut geler un échec avant avec un pivot précis pour se regrouper et déclencher la transition. Ce qu’il ne peut pas surmonter, ce sont des rondelles déviées et des bâtons hauts qui ont laissé des marques de points sur et autour de son nez.

Cela a forcé Hughes à jouer brièvement avec une cage pleine et c’est ce dont il sera témoin dans un appariement lorsque Ethan Bear reviendra cette semaine. Bear a absorbé une rondelle déviée le 25 février contre les Bruins de Boston qui lui a coûté une dent, en a détaché quatre autres et lui a laissé une légère fracture de la lèvre supérieure.

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« Cela m’a fait un peu de bien, ce n’était ni beau ni génial », a déclaré Bear, qui pense qu’il est à un entraînement de son retour, peut-être jeudi en Arizona. « C’était la première fois que je devais passer par là et je ne le souhaite à personne.

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« Je n’ai jamais joué avec un écran facial complet auparavant et je devrai en porter un pendant trois ou quatre semaines. »

Hughes comprend les risques professionnels lorsque l’adversaire essaie de se mettre en face de vous, que les bâtons se lèvent ou que les rondelles dévient d’une trajectoire étrange.

Et parce qu’il enregistre une quantité ridicule de temps de glace avec une moyenne de 25:17 minutes qui se classe au huitième rang parmi tous les défenseurs – et a dépassé la barre des 30 minutes à quatre reprises et plus de 28 minutes en 10 matchs – il est plus susceptible d’avoir son visage réarrangé.

Il a enregistré 24:09 mardi dans un triomphe de 5-2 contre les Stars de Dallas et a réussi quatre tirs et sept tentatives.

Tout cela n’a pas empêché Hughes de récolter 56 passes décisives après les 65 aides d’Erik Karlsson. Et 61 points placent Hughes cinquième parmi ses pairs back-end.

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C’est probablement pourquoi Hughes s’est adapté si facilement lorsqu’il a dû enfiler une cage pleine et n’a pas eu de mal à trouver des rondelles dans ses patins. Il en portait un dans la NCAA et Bear ne l’a pas fait dans la WHL.

« Il n’y a pas de défi », a déclaré Hughes. « Nous en portons un en grandissant presque toute notre vie, et si cela ne tenait qu’à moi, j’aimerais en porter un à plein temps, car vous ne vous ferez pas frapper au visage. »

Même avec toutes ces minutes ?

« Je veux jouer autant que je peux », a-t-il souligné. « Je me sens vraiment bien. C’est différent qu’en début de saison et au milieu. Au début, vous jouez ces minutes et vous ne vous sentez pas aussi bien.

« Au cours des deux derniers mois, j’ai parfois l’impression de sortir de la glace en pensant que j’ai joué 22 minutes et que j’en ai joué 28.

« Bien sûr, certaines minutes, c’est trop. Mais si je joue bien – pas paresseux défensivement et en poussant offensivement – ​​je sais que je peux les jouer.

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Jouer avec Bear a souvent été fluide car ils patinent bien ensemble et ont un niveau de communication qui se traduit par des sorties de zone plus faciles et ne pas se faire épingler.

« Il est très intelligent et travaille pour son partenaire », a déclaré Hughes à propos de Bear. « C’est la structure. Nous ne nous laissons pas prendre à notre propre bout et ne courons pas après. Nous restons calmes et les gens ont un message clair de responsabilités.

Quant à Bear, le port d’un protège-dents a empêché d’autres dommages causés par cette rondelle déviée. Et être dans le jeu assez longtemps pour savoir comment s’adapter devrait l’aider à trouver ces rondelles dans ses patins.

« J’ai assez bien joué au jeu maintenant que vous avez en quelque sorte une bonne conscience de l’endroit où il (la rondelle) se trouve à certains moments, donc je ne pense pas que ça devrait être trop mal », a-t-il déclaré.

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Et avec cela, il a également offert un peu de légèreté.

« C’était (la déviation) un rebond difficile, mais mon fiancé m’aime toujours », a-t-il ri. « Nous verrons. Si je perds quatre dents de plus, qu’il en soit ainsi. Je disais après avoir été touché qu’il était temps et que mon sourire est assez joli.

« Maintenant, j’ai une jolie petite cicatrice qui va avec. »

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