mardi, novembre 26, 2024

Cadeau de la mer par Anne Morrow Lindbergh

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J’ADORE absolument ce livre !! Je le recommande très fortement. C’est le cadeau parfait à offrir à un ami/sœur/mère ou à acheter pour vous-même à lire et relire. C’est aussi une lecture très rapide qui est un petit bonus sympa. Si vous voulez une critique vraiment professionnelle, lisez celle de Lucy. (Je pense vraiment que Lucy devrait devenir critique littéraire). Mais voici ce que j’en ai pensé… c’était la deuxième fois que je lisais le livre. La première fois que je l’ai lu, j’avais environ 18 ans et je m’apprêtais à partir pour l’université. Ma mère l’avait lu et l’avait beaucoup aimé et m’avait suggéré de le lire. (Elle a toujours eu deux exemplaires de ce livre… un qu’elle gardait à la maison et un qu’elle gardait à son bureau). Je l’ai lu et je l’ai aimé et j’ai même pris des notes et écrit mes citations préférées. (En fait, j’ai trouvé mon ancien agenda Franklin et les notes que j’ai prises… c’était vraiment amusant à lire). Quand je l’ai lu à 18 ans, mes parents étaient en train de divorcer, ma famille déménageait de Kansas City à Houston et je m’apprêtais à partir pour BYU. La plupart des citations que j’ai écrites concernaient la séparation.

« La séparation est forcément douloureuse, même pour une courte durée. C’est comme une amputation, j’ai l’impression qu’on m’arrache un membre, sans lequel je serai incapable de fonctionner. Et pourtant, une fois fait… vide, plus riche, plus vif et plus plein qu’avant » Anne Morrow Lindbergh.

J’en ai aussi écrit quelques-uns pour essayer de comprendre qui j’étais et en quoi j’avais de l’importance pour le monde.

« …Quand on est étranger à soi-même, on est aussi étranger aux autres. Si on est déconnecté de soi-même, alors on ne peut pas toucher les autres ». Anne Morrow Lindbergh

Je me souviens d’avoir pleuré sur mon lit, en lisant le livre, en pensant… Anne Morrow Lindbergh me COMPREND vraiment. En le relisant à 34 ans, c’était comme un tout autre livre et cette fois, je riais en le lisant en pensant… Anne Morrow Lindbergh me COMPREND vraiment.

Elle compare les différentes phases de la vie d’une femme à différents coquillages. J’ai adoré l’analogie de la coquille d’huître. Ce serait l’étape marier/élever une famille. Elle le décrit comme ayant un aspect très ordinaire… plutôt grumeleux… incrusté sur un rocher… avec des objets qui y sont attachés. Elle raconte comment cela lui a rappelé une maison pleine d’enfants, de jouets et de vélos partout, avec des amis qui débordent, bruyants, désordonnés et chaotiques. Cela semble si familier !! Elle explique à quel point la vie des femmes est si pleine de responsabilités, de repas à préparer, de ménage, d’enfants à garder, d’animaux domestiques, de loisirs, d’amis, d’amis d’enfants, d’activités, d’activités pour enfants, de comités et de maris pour lesquels les femmes prennent rarement le temps de eux-mêmes à renouveler. Donc, cette citation que j’ai écrite quand j’avais 18 ans sur le fait d’être étranger à soi-même signifie quelque chose de totalement différent à 34 ans.

J’ai aussi beaucoup aimé la façon dont elle décrivait les différentes étapes du mariage. Ma citation préférée de cette lecture était :

« L’amour ne se regarde pas… il se tient côte à côte et regarde dans la même direction »

Je pense que ce livre a eu un tel attrait et une telle longévité parce qu’il est plein de vérités universelles. Nous, les femmes, nous nous ressemblons plus que nous ne sommes différentes et cela transcende même le temps et les générations. J’ai hâte de lire le livre quand j’aurai 50 ans et de nouveau à 80 ans et de voir si Anne Morrow Lindbergh m’a toujours OBTENU… d’une manière ou d’une autre, je pense qu’elle le fera.

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