Bullet in the Brain Résumé et guide d’étude Description


La version suivante de cette histoire a été utilisée pour créer ce guide d’étude : Wolff, Tobias. « Une balle dans le cerveau ». Notre histoire commence. New York : Alfred A. Knopf, 2008. Pages 263 – 268.

L’histoire s’ouvre dans une banque. Anders, un critique littéraire maladroit, arrive peu avant l’heure de fermeture de la banque, et il est frustré par la longue file d’attente. Lorsqu’une femme devant lui se plaint du personnel de la banque, Anders se moque de la femme pour s’être plainte de quelque chose d’insignifiant. Ironiquement, Anders avait eu des pensées similaires quelques instants auparavant. Soudain, deux voleurs armés portant des masques de ski pénètrent dans la banque et procèdent à un vol d’argent. Anders commente par réflexe les différents aspects clichés de la situation. La femme dans la file exhorte Anders à se taire. L’un des voleurs s’approche d’Anders avec un pistolet et lui dit d’arrêter de parler.

Anders et le voleur se regardent dans les yeux. Le voleur est si proche qu’Anders peut sentir son haleine et Anders se sent troublé. Le voleur dit à Anders de regarder le plafond, et Anders le fait. Anders remarque que le plafond est décoré d’images peintes de diverses figures mythologiques. Anders considère les images peintes comme mal faites et trop prétentieuses. Il considère que les peintures sont comiquement mauvaises et il rit involontairement à haute voix. Le rire d’Anders irrite le voleur, qui menace à nouveau Anders et lui dit d’arrêter de parler. Les clichés verbaux du voleur font à nouveau rire Anders. Le voleur tire alors sur Anders dans la tête.

La balle tue Anders, mais le récit dit qu’Anders a un dernier souvenir involontaire juste avant sa mort. Le récit s’éloigne brièvement d’une litanie de choses du passé d’Anders dont il ne se souvient pas à ce moment-là. La liste comprend diverses choses dans sa vie qui lui apportaient de la joie mais qui ne le font plus, comme sa famille, son travail et sa vie amoureuse. La narration fait également allusion à la vie familiale tendue d’Anders lorsqu’il était enfant, principalement à cause d’un père apparemment violent. Les choses auxquelles Anders pense dans son dernier moment de la vie est un jour d’été de son enfance quand il a joué à un match de baseball avec un groupe de garçons locaux. Un garçon a amené son cousin, qui était de l’extérieur de la ville et qui avait un dialecte régional qu’Anders n’avait jamais entendu auparavant. Anders aimait le jeu et était particulièrement fasciné par l’accent du garçon.



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