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La Banque de Montréal a reçu l’approbation de la Réserve fédérale pour acquérir Bank of the West, basée à San Francisco, une combinaison qui créera le 15e prêteur américain en importance.
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Après la transaction, la filiale américaine de la Banque de Montréal, BMO Financial Corp., disposera d’actifs consolidés de 286,8 milliards de dollars américains, soit environ 1 % de ceux détenus par les institutions de dépôt assurées aux États-Unis, selon la Fed. Le Bureau du contrôleur de la monnaie a également déclaré qu’il avait donné son feu vert à la fusion.
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La Banque de Montréal a déclaré qu’elle s’attend à ce que l’accord soit conclu le 1er février. David Casper, le directeur américain de la banque, a déclaré dans un communiqué.
Le vendeur BNP Paribas SA dévoilera l’impact final de l’accord le 7 février, ainsi que ses résultats du quatrième trimestre, a annoncé mercredi le prêteur dans un communiqué. La banque française a déclaré qu’elle consacrerait environ 4 milliards d’euros aux rachats d’actions.
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L’opération de 16,3 milliards de dollars américains, la plus importante jamais réalisée par une banque canadienne, étend la Banque de Montréal au-delà de son fief dans le Midwest, dans l’ouest des États-Unis et en Californie, lui donnant une présence active dans 32 États. Lorsqu’elle a annoncé l’acquisition, la banque canadienne estimait qu’elle obtiendrait 1,8 million de nouveaux clients et 105 milliards de dollars d’actifs.
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La Banque de Montréal a conclu l’accord alors qu’elle était pleine de capitaux parce que les régulateurs avaient empêché les grands prêteurs du Canada de racheter des actions ou d’augmenter leurs dividendes pendant plus d’un an. Plus récemment, la Banque de Montréal a été forcée de vendre 2,33 milliards de dollars en actions pour compléter ses niveaux de capital après que l’organisme de réglementation bancaire du Canada a augmenté les coussins de capital requis par l’industrie.
La Banque Toronto-Dominion attend toujours l’approbation des autorités de réglementation pour son propre accord majeur aux États-Unis, l’acquisition de 13,4 milliards de dollars de First Horizon Corp.