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Comment le test est effectué
La peau de votre poignet est nettoyée et injectée avec un médicament qui engourdit la zone. Grâce à une petite incision, un échantillon de tissu est retiré du canal carpien. Cela se fait par prélèvement direct de tissu ou par aspiration à l’aiguille.
Parfois, cette procédure est effectuée en même temps que la libération du canal carpien.
Comment se préparer pour le test
Suivez les instructions pour ne rien manger ou boire pendant quelques heures avant le test.
Comment le test se sentira
Vous pouvez ressentir des picotements ou des brûlures lorsque le médicament anesthésiant est injecté. Vous pouvez également ressentir une certaine pression ou tiraillement pendant la procédure. Par la suite, la zone peut être sensible ou douloureuse pendant quelques jours.
Pourquoi le test est effectué
Ce test est souvent effectué pour voir si vous souffrez d’une maladie appelée amylose. Il n’est généralement pas fait pour soulager le syndrome du canal carpien. Cependant, une personne atteinte d’amylose peut avoir un syndrome du canal carpien.
Le syndrome du canal carpien est une affection caractérisée par une pression excessive sur le nerf médian. C’est le nerf du poignet qui permet la sensation et le mouvement des parties de la main. Le syndrome du canal carpien peut entraîner un engourdissement, des picotements, une faiblesse ou des lésions musculaires de la main et des doigts.
Résultats normaux
Aucun tissu anormal n’est trouvé.
Que signifient les résultats anormaux
Un résultat anormal signifie que vous souffrez d’amylose. Un autre traitement médical sera nécessaire pour cette condition.
Des risques
Les risques de cette procédure comprennent :
- Saignement
- Dommages au nerf dans cette zone
- Infection (un léger risque à chaque fois que la peau est cassée)
Les références
Hawkins PN. Amylose. Dans : Hochberg MC, Silman AJ, Smolen JS, Weinblatt ME, Weisman MH, éd. Rhumatologie. 7e éd. Philadelphie, Pennsylvanie : Elsevier ; 2019 : chap 177.
Weller WJ, Calandrucio JH, Jobe MT. Neuropathies compressives de la main, de l’avant-bras et du coude. Dans : Azar FM, Beaty JH, éd. Orthopédie opératoire de Campbell. 14e éd. Philadelphie, Pennsylvanie : Elsevier ; 2021 : chap 77.
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