[ad_1]
La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer ce guide d’étude : Gilbert, Elizabeth. Grande magie. Penguin Random House, 2016. 1ère édition de poche.
Dans Big Magic, Elizabeth Gilbert décrit les qualités essentielles de la vie créative. Elizabeth Gilbert croit que le courage est la première étape essentielle. Elle admire le poète et enseignant Jack Gilbert (sans lien de parenté avec elle), qui croit que tout le monde a de la créativité en soi mais a besoin de courage pour la mettre au monde. Gilbert ne croit pas que pour vivre de manière créative, il faille poursuivre une carrière dans les arts. Elle ne croit pas non plus qu’il faille faire de grands changements dans la vie. La vie créative, selon Gilbert, signifie simplement rechercher la joie de faire quelque chose avec soi-même.
Gilbert reconnaît que la peur peut être ce qui empêche les lecteurs de laisser libre cours à leur créativité. Elle recommande aux lecteurs d’accepter leur peur et de lui permettre d’exister à côté de leur expression créative plutôt qu’en conflit avec elle. Gilbert admet que l’intrépidité totale est irréaliste, elle encourage donc les lecteurs à être courageux dans leur quête de créativité.
Dans la deuxième partie, Gilbert explique sa croyance en la nature magique des idées. Elle croit que les idées flottent à travers le monde, toujours à la recherche du partenaire idéal pour les concrétiser. Elle souhaite que les lecteurs soient ouverts à accepter ces idées dans leur vie et qu’ils considèrent l’inspiration comme leur partenaire créatif. Gilbert ne croit pas qu’une idée est la propriété d’une personne créative et que les idées ont la liberté d’aller et venir à leur guise.
Gilbert partage une histoire de sa propre vie qui sert à renforcer sa philosophie sur la nature enchantée et magique de l’inspiration. Elle écrit à propos d’une époque où une idée qu’elle a négligée est passée à un autre auteur. Elle et l’autre écrivain ont été choqués de découvrir les similitudes entre leurs deux projets puisqu’ils n’en avaient jamais discuté l’un avec l’autre. Gilbert encourage les lecteurs à embrasser et à accepter les caprices de l’inspiration.
Dans la troisième partie, Gilbert partage une partie de ses antécédents familiaux. Elle utilise ses parents comme exemples de personnes qui ont trouvé des moyens d’être créatifs dans leur vie de tous les jours sans poursuivre de carrière artistique. De sa famille, Gilbert a appris qu’il n’est pas nécessaire de demander la permission pour mener une vie créative. Elle pense que tout le monde a le potentiel d’être créatif à sa manière et encourage les lecteurs à commencer à créer quelque chose.
Gilbert incite les lecteurs à croire qu’ils ont le droit d’exprimer leur créativité sans avoir besoin d’une approbation extérieure et veut qu’ils repoussent le doute sur eux-mêmes. Elle souligne qu’une personne créative n’a pas besoin d’un diplôme d’études supérieures ou d’une validation externe pour poursuivre ses intérêts. Elle veut que les créatifs trouvent de la joie dans le processus créatif lui-même, et non dans des marqueurs externes de succès. Gilbert insiste sur l’importance de trouver cette joie lorsque le processus est difficile ou lorsque l’on fait face au rejet. Elle encourage les lecteurs à ne pas prendre leur travail trop au sérieux et à se rappeler que la créativité n’est pas une question de vie ou de mort.
Dans la quatrième partie, Gilbert écrit sur l’importance de la pratique pour améliorer son art et recommande l’engagement envers son travail créatif. Elle pense qu’il faut aimer suffisamment le travail pour y rester même quand il ne va pas bien.
Gilbert déconseille les pressions de dépendre de sa créativité pour la stabilité financière, car elle pense que cela peut étouffer l’inspiration. Elle reconnaît la nature imprévisible et subjective du succès dans les activités créatives et croit que l’on doit être créatif parce que cela leur apporte de la joie, et non parce que l’on pense que cela leur apportera le succès ou la validation. Gilbert considère également le perfectionnisme comme un tueur de créativité et rappelle aux lecteurs que ce qui compte le plus, c’est de faire le travail sans se soucier des résultats.
Dans cette section, Gilbert prône avant tout la persévérance. Elle encourage les lecteurs à continuer à créer malgré le nombre de lettres de refus qu’ils reçoivent et utilise des exemples de sa propre vie pour illustrer à quel point la persévérance créative est payante.
Dans la cinquième partie, Gilbert encourage les lecteurs à faire confiance à leur créativité et à croire qu’elle les aime en retour. Elle met en garde contre le fait de devenir un martyr qui se sent torturé et tourmenté par leur art. Gilbert souhaite que les lecteurs abordent les hauts et les bas de la création avec enjouement plutôt qu’avec l’angoisse et croit que l’inspiration peut plus facilement être trouvée par la joie que par la douleur. Elle met également en garde contre le fait d’être trop fier de son travail et de rester ouvert au changement.
Lorsque l’inspiration passionnée semble manquer, Gilbert conseille de suivre ses intérêts et ses curiosités. Elle pense que cela mènera à des sources d’inspiration inexploitées et à des formes inattendues d’expression créative. Face à l’échec, Gilbert recommande de poursuivre une autre forme d’art pour rafraîchir et rajeunir son inspiration.
Gilbert ferme le livre avec une très courte sixième partie sur le rôle de la divinité dans la créativité. Elle utilise l’exemple de la danse sacrée balinaise pour illustrer que les frontières entre l’art élevé et l’art inférieur sont floues. Comme les Balinais, Gilbert croit que la créativité est à la fois sacrée et non sacrée.
En conclusion, Gilbert encourage les lecteurs à accepter les paradoxes de la créativité et leur dit d’aller de l’avant et de faire quelque chose.
[ad_2]
Source link