En partie Jason Bourne, en partie « John Wick », en partie « The Raid », en partie film de zombies post-apocalyptique, en partie « The Last of Us », en partie « Prisoners Of The Ghostland », et une quantité considérable de caméras viscérales que nous avons notamment vu dans « Upgrade » de Leigh Whannel en 2018 – prenez ces influences, mélangez-les dans un manège frénétique et plein d’adrénaline, et vous vous retrouvez avec une description qui toujours ne rend pas tout à fait justice à la longueur d’onde sur laquelle « Carter » semble fonctionner.
Le prochain blockbuster de Netflix tourne autour d’un homme qui se réveille sans mémoire (Joo Won) et se retrouve immédiatement en fuite avec une voix mystérieuse dans la tête, une bombe à retardement dans la bouche et une mission critique à accomplir impliquant le sauvetage d’une jeune fille qui peut fournir la clé du salut de l’humanité. Oh, et je devrais probablement mentionner que la CIA, les Nord-Coréens et une horde de zombies sont tous déterminés à l’empêcher de réussir.
« Carter » est réalisé par Jung Byung-gil (« Mémoires d’un meurtrier », « The Villainess ») et sortira sur Netflix le 5 août 2022.
Deux mois après le début d’une pandémie mortelle provenant de la DMZ qui a dévasté les États-Unis et la Corée du Nord, « Carter » se réveille, sans aucun souvenir de son passé. Dans sa tête se trouve un appareil mystérieux, et dans sa bouche, une bombe mortelle. Une voix étrange dans ses oreilles lui donne des ordres. La bombe peut exploser à tout moment – à moins qu’il ne sauve la fille qui est le seul antidote au virus. Mais la CIA et un coup d’État nord-coréen sont sur ses talons.