Baldur’s Gate 3 est notre jeu de l’année, et cela ne serait pas possible sans l’expertise du développeur en matière de construction du monde : « Le plus grand défi est de garder le joueur intéressé. »

Baldur

Au cœur des terres maudites par l’Ombre, dans le deuxième acte de Baldur’s Gate 3, j’aperçois une curieuse boule au sol. En supposant qu’il s’agisse d’un butin, ma curiosité s’intensifie lorsque je le mets en évidence. Ce que je vois est en fait un vestige de l’ombre laissé par un ennemi que je venais de vaincre au combat. Je m’attendais peut-être à récupérer une sorte d’objet, mais ce que cette curiosité m’apporte en réalité est une récompense bien plus grande que n’importe quel trésor.

Vous sentez un écho s’estomper de la personne qui était autrefoisdit le narrateur. Un docker. Il n’a pas demandé ça. Je reste assis près de la ligne pendant un certain temps, regardant la balle fantomatique qui devient soudainement si significative. Il ne s’agit peut-être que d’une petite interaction, mais cette simple ligne de dialogue a tellement de poids. Cela met en lumière le monde sombre dans lequel je me trouve et ma perspective change immédiatement en conséquence. Les ombres que j’ai combattues ne sont pas seulement des ombres, elles rappellent la grande tragédie qui s’est déroulée sur ces terres. Ce sont des victimes qui ont perdu la vie grâce à la malédiction et à Ketheric Thorm.

Le meilleur de 2023

(Crédit image : Futur)

Le 25 meilleurs jeux de 2023tel que choisi par l’équipe GamesRadar+.

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