Non, il n’y a jamais eu d’État palestinien et les Juifs ne sont pas des colonisateurs
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Le conflit israélo-palestinien est entaché de mythes, l’un des plus tenaces étant celui de l’existence d’un État palestinien avant la création d’Israël en 1948. Ce récit est historiquement inexact et sert à délégitimer Israël. Il est crucial de comprendre la véritable histoire, car le récit palestinien continue d’être utilisé à des fins de propagande.
Avant qu’Israël ne déclare son indépendance en 1948, la région aujourd’hui connue sous le nom d’Israël, la Cisjordanie et la bande de Gaza, faisait partie du mandat britannique pour la Palestine, établi par la Société des Nations après la chute de l’Empire ottoman lors de la Première Guerre mondiale.
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Sous la domination ottomane, la région était divisée en plusieurs districts administratifs, sans entité politique distincte connue sous le nom de « Palestine ». Le concept d’identité nationale palestinienne est apparu au XXe siècle, en grande partie en réponse au mouvement sioniste et à l’augmentation de l’immigration juive dans la région.
Cependant, il n’y a jamais eu d’État palestinien, ni de drapeau, ni d’hymne. L’idée d’un État palestinien préexistant est une invention moderne qui ignore l’histoire réelle de la région.
La légitimité de l’État moderne d’Israël est ancrée dans le droit international et dans la reconnaissance internationale. Le 29 novembre 1947, l’Assemblée générale des Nations Unies adoptait la résolution 181, connue sous le nom de « Plan de partage », proposant la création de deux États, l’un juif et l’autre arabe.
La communauté juive accepta le plan, démontrant ainsi sa volonté de faire des compromis en faveur de la paix. Cependant, les États arabes le rejetèrent, refusant de reconnaître un quelconque État juif, et lancèrent une attaque militaire contre Israël après sa déclaration d’indépendance le 14 mai 1948.
Un autre mythe répandu est celui de la « Nakba » ou « catastrophe », selon lequel les Palestiniens auraient été expulsés de force par Israël en 1948. Cette version omet le contexte crucial selon lequel ce sont les nations arabes qui ont envahi Israël, provoquant l’expulsion ou la fuite de nombreux Arabes de leurs foyers.
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Au lieu d’absorber les populations déplacées, les pays arabes voisins les ont enfermées dans des camps de réfugiés, les utilisant comme des pions pour faire pression sur Israël. Des organisations comme l’UNRWA ont perpétué cette situation, en maintenant les Palestiniens dans l’incertitude au lieu de favoriser leur intégration dans leurs pays d’accueil. Cette situation contraste fortement avec la façon dont d’autres populations de réfugiés ont été traitées, où l’intégration et la réinstallation sont la norme.
La terre appelée « Palestine » a toujours été intrinsèquement juive. Le peuple juif y a maintenu une présence continue pendant des milliers d’années, bien avant l’islam et les conquêtes arabes.
Les vestiges archéologiques, comme l’ancienne forteresse de Massada, les manuscrits de la mer Morte et les anciennes synagogues, apportent des preuves irréfutables de cette présence durable. Le lien historique des Juifs avec cette terre est indéniable et ne doit pas être éclipsé par les discours politiques modernes. La mosquée Al-Aqsa de Jérusalem a été construite au-dessus du Temple juif des centaines d’années après la fondation de Jérusalem par les Juifs.
Un autre mythe est que la Cisjordanie et Gaza ont toujours été des territoires palestiniens, avec Israël comme occupant. Après la guerre israélo-arabe de 1948, la Transjordanie a annexé la Cisjordanie et l’Égypte a pris le contrôle de Gaza.
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Durant cette période, il n’y a pas eu de mouvement indépendantiste palestinien significatif ni de pression internationale en faveur d’un État palestinien indépendant. Le concept d’État palestinien n’a pris de l’ampleur qu’après la victoire d’Israël lors de la guerre des Six Jours de 1967, lorsque Israël a pris le contrôle de ces régions à la Jordanie et à l’Égypte.
La conquête de la Cisjordanie par Israël en 1967 était une nécessité stratégique, et non un acte d’expansionnisme. Entouré de voisins hostiles, Israël cherchait à créer une zone tampon pour se protéger de futures attaques. Cependant, cette victoire lui a également permis de prendre le contrôle d’une importante population palestinienne, qui était auparavant sous domination jordanienne.
Il est essentiel de briser les mythes qui sont profondément ancrés dans le récit entourant le conflit israélo-palestinien. Reconnaître le droit du peuple juif à vivre en Israël ne signifie pas que la terre ne peut pas être partagée. En effet, les Juifs ont une longue histoire de recherche de la paix et de la coexistence. Cependant, les dirigeants palestiniens ont systématiquement rejeté les propositions de paix, s’accrochant à un faux récit visant à la destruction d’Israël.
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L’idée selon laquelle Israël occuperait des terres appartenant de droit à un État palestinien préexistant n’est pas étayée par des faits historiques. Avant 1948, il n’existait pas d’État palestinien. La terre d’Israël a toujours été la patrie ancestrale du peuple juif, un fait confirmé par des milliers d’années d’histoire. Les tentatives visant à effacer ce lien sont non seulement fallacieuses, mais dangereuses.
L’existence d’Israël est légitime, ses frontières sont reconnues par le droit international et ses actions en 1967 étaient motivées par des impératifs de sécurité et non par une conquête territoriale. C’est pourquoi, en 2005, Israël a cédé la bande de Gaza. Pourtant, au lieu de construire un État pacifique, les Palestiniens ont construit un front terroriste pour attaquer Israël.
Alors que nous sommes confrontés aux défis actuels, il est essentiel de briser les mythes qui déforment l’histoire de la région et de rester ferme dans la défense de la vérité.
National Post
Avi Benlolo est le président fondateur de l’Initiative mondiale pour la paix Abraham.
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