Avalanche, Panthers et Flames fait jusqu’à Noël

La propagation de la variante Omicron menace d’assommer la LNH.
Image: Getty Images

La LNH a plusieurs listes de joueurs dans les protocoles COVID, le nombre augmentant apparemment d’heure en heure. La chose évidente à faire, la chose à laquelle nous nous serions attendus à l’ère « d’une abondance de prudence » (vous vous en souvenez ?) serait que la ligue arrête les choses pendant quelques semaines, ajustez la programmation en conséquence et réessayez une fois cette augmentation subite.

Bien que la ligue ne veuille pas faire cela, pas avec des billets déjà vendus et certains billets (halètement) devant être remboursés en raison des capacités réduites obligatoires dans les villes canadiennes, COVID-19 et la variante Omicron continuent de ne pas donner un seul , baise solitaire sur ce que tout le monde veut faire.

L’Avalanche du Colorado et les Panthers de la Floride ont vu leurs matchs jusqu’à Noël reportés vendredi, rejoignant les Flames de Calgary, qui ont joué pour la dernière fois dimanche et seront également en pause jusqu’à la fin des vacances de la LNH.

Pour rappeler que le nouveau coronavirus est très contagieux, le dernier match des Flames a été une défaite de 4-2 contre les Bruins de Boston, qui ont depuis eu plusieurs de leurs propres joueurs placé dans des protocoles de santé et de sécurité, et a dû affronter les Islanders jeudi soir avec seulement 11 attaquants. Le match des Bruins contre les Canadiens samedi a également été annulé, et la bonne nouvelle est peut-être que les Islanders n’ont pas à s’inquiéter d’attraper le virus des Bruins… parce que New York a déjà a des problèmes de COVID et je reviens tout juste du report des matchs.

Chaque ligue sportive dans le monde doit faire face à COVID d’une manière ou d’une autre en ce moment, mais nous savons depuis plus d’un an que le hockey est particulièrement délicat parce qu’il se joue sur une plaque de glace et que l’air froid et humide est extrêmement favorable aux virus. C’est pourquoi, même dans les bons moments, le hockey a des problèmes de grippe annuels, et même le épidémie occasionnelle d’oreillons.

Les trois équipes dont les horaires ont été annulés pour la semaine prochaine avaient des matchs en jeu contre Columbus, Boston, Chicago, Anaheim, Seattle, Tampa Bay, Nashville, Détroit, Buffalo et Minnesota. En d’autres termes, près de la moitié de la ligue est touchée par cela, et ce n’est pas comme si les problèmes de COVID se limitaient au Colorado, à la Floride et à Calgary.

La LNH a déjà une pause de deux semaines dans son calendrier à venir pour les Jeux olympiques, où la participation des joueurs est déjà dans l’air en raison de l’incertitude entourant les protocoles. Il serait assez facile, sans parler de la bonne chose à faire, de débrancher Pékin maintenant, de prendre les deux dernières semaines de 2021 et d’utiliser cette période olympique pour des jeux de maquillage.

Le virus pourrait bien décider que c’est ce qui se passe de toute façon.

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