lundi, janvier 20, 2025

Autobiographie de Red par Anne Carson

[ad_1]

Cela n’aura de sens, bien que sarcastique, que si vous avez réellement lu le livre :

ÉCLAIRCIR
LA QUESTION DE
QU’IL S’AGISSE L’autobiographie de Red
VAUT LE PAPIER
EST IMPRIMÉ SUR

1. Soit THE AUTOBIOGRAPHY OF RED est une bonne histoire/poème, soit ce n’est pas le cas.

2. Si le livre/poème était bon, soit sa bonté éclairera l’esprit de son lecteur, soit il ne le fera pas.

3. Si ce n’est pas un livre/poème qui éclaire l’esprit de son lecteur, alors il y a une raison à cela.

4. Si la raison est que le « protagoniste

Cela n’aura de sens, bien que sarcastique, que si vous avez réellement lu le livre :

ÉCLAIRCIR
LA QUESTION DE
QU’IL S’AGISSE L’autobiographie de Red
VAUT LE PAPIER
EST IMPRIMÉ SUR

1. Soit THE AUTOBIOGRAPHY OF RED est une bonne histoire/poème, soit ce n’est pas le cas.

2. Si le livre/poème était bon, soit sa bonté éclairera l’esprit de son lecteur, soit il ne le fera pas.

3. Si ce n’est pas un livre/poème qui éclaire l’esprit de son lecteur, alors il y a une raison à cela.

4. Si la raison en est que le monstre « protagoniste » n’a jamais pris ses erreurs, et les maux qui ont été agi sur lui, ce qui l’a amené à traverser la vie sans engagement et fondamentalement un morceau de chair rouge animé avec des ailes inutiles [ think of the STRANGER’s protagonist, Meursault…but less of a true monster, since he is not a killer] en trouvant la vérité absolue, qui pourrait l’aider à triompher de ses épreuves, par l’application, ou il ne l’a pas fait.

5. Si le protagoniste n’a jamais appris à triompher de tout ce qui l’assaille en saisissant quelque vérité éternelle absolue, son angoisse personnelle n’y était pour rien, et sa mortalité était une perte de temps.

6. Si sa mortalité était une perte de temps, alors lire à ce sujet est une perte de temps pour le lecteur.

7. Si la lecture du parcours de vie inutile du protagoniste était une perte de temps pour le lecteur, alors ce livre/poème n’est pas une bonne lecture.

8. Si ce livre/poème n’est pas une bonne lecture, alors il devrait obtenir une étoile.

9. Si ce livre n’a été noté qu’avec une étoile… il devrait être brûlé… donc au moins les pages pulpeuses peuvent être utilisées pour faire QUELQUE CHOSE de positif, comme fournir un peu de chaleur à la personne qui les a achetées .

10. S’il devait être brûlé, le lecteur qui l’a noté avec une étoile devrait allumer l’allumette…

La MEILLEURE partie du livre, PAS l’histoire / le poème écrit par Anne Carson, était les morceaux de l’écriture dont elle s’est inspirée, écrite il y a des siècles par STESICHOROS.

Les fragments RÉELS, vraiment plusieurs paragraphes seulement, sur le protagoniste de STESICHOROS, le monstre, Géryon, étaient les vrais joyaux.

J’espérais… j’espérais… que l’écriture de Carson continuerait dans la même veine que celle de Stesichoros… NON.

Elle l’a adultéré.

Il existe une manière de considérer la poésie et les romans contemporains qui est devenue courante dans l’analyse de ceux qui sont bien respectés en tant que critiques littéraires « intellectuels ».
Ce n’est pas une nouvelle façon de voir l’écriture.
Non.
En fait, il est tout à fait conforme aux philosophies humanistes qui ont élevé et en même temps tourmenté l’humanité pendant des siècles.
Pas d’absolu.
Tout va.
Le plus bas, le plus « digne ».
Si vous voulez savoir de quoi parle ce livre, voici : un garçon est agressé sexuellement par son grand frère, ses parents sont à peu près déconnectés émotionnellement de leur progéniture, le garçon devient un adolescent qui s’implique dans un moi pervers. -un jeune homme obsédé par les volcans, ils se séparent, le garçon [ oh he thinks he has wings] grandit en regardant le monde comme un certain type de savant pourrait le faire [or is that just the author’s way of injecting figurative language into the verse?], il dérive, ne fait que prendre des photos qui ont du sens pour lui, il revient avec le jeune homme insipide et dégoûtant, puis va voir des fours à pain construits au flanc d’un volcan.
Tout ce dribble poétique est réalisé en 160 pages, à double interligne, avec une police minuscule et exécuté assez « joliment », bien sûr.
Après tout, les « littéraires » « intellectuels » de l’heure doivent avoir des ordures textuelles validées par un langage incroyablement MAGNIFIQUE [with the exception of some foul language and graphic scenes, which pop up about five or six times in the book—more than needed, but apparently deemed necessary by the authoress to tell this useless tale].
Je n’ai ressenti qu’un dégoût rongeant après avoir terminé la dernière page.

« Chérie, préparez le foyer ! »

[ad_2]

Source link

- Advertisement -

Latest