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Fin 2012, Glenn Greenwald a été contacté par un homme se faisant appeler Cincinnatus lui demandant d’utiliser un e-mail crypté afin qu’ils puissent parler librement. Greenwald, impliqué dans d’autres histoires à l’époque, a écarté l’homme. Puis, en avril 2013, Greenwald a rencontré une amie et documentariste Laura Poitras. Poitras a montré à Greenwald un document qui lui avait été envoyé par une source anonyme qui affirmait que la NSA espionnait le peuple américain. Greenwald est rapidement entré en contact avec la source et a appris qu’il avait beaucoup plus de documents qui montraient que la NSA avait développé un système par lequel ils pouvaient espionner les communications électroniques à travers le monde.
Greenwald a fait participer son journal, le Guardian, à l’histoire et s’est envolé pour Hong Kong pour rencontrer la source. La source, Edward Snowden, a parlé ouvertement avec Greenwald et a passé en revue avec lui la multitude de documents qu’il avait obtenus grâce à son travail d’analyste à la NSA. Après quelques discussions sur la légalité de la publication des histoires, Greenwald a écrit plusieurs articles qui ont été publiés dans le Guardian. La nouvelle a pris le monde d’assaut.
Greenwald décrit l’étendue de la surveillance de la NSA comme prouvée non seulement par les documents de Snowden, mais aussi par des enquêtes séparées et des exemples antérieurs de surveillance dans l’histoire américaine. Greenwald fait également un argument contre la surveillance pour contrer les arguments avancés par beaucoup qui ont suggéré que la NSA devrait avoir le droit de collecter des métadonnées contre les citoyens du monde entier.
Greenwald est retourné à Rio peu de temps après le début des publications. Il a appris que son partenaire, David, s’était fait voler un ordinateur chez lui après avoir eu une conversation avec Greenwald sur Skype. Plus tard, Greenwald apprit que l’un des avocats du Guardian avait entendu un groupe d’agents du renseignement discuter de la manière dont Greenwald et Snowden devaient être assassinés. Les bureaux londoniens du Guardian ont été perquisitionnés par le groupe d’espionnage britannique, le GCHQ, et leurs archives détruites. Enfin, David a été arrêté en tant que terroriste à Londres alors qu’il tentait de prendre un vol de correspondance vers Berlin.
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