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La version suivante de cette histoire a été utilisée pour créer ce guide d’étude : Barthelme, Donald. Quarante histoires. New York : Penguin Books, 2005, p. 109 – 119.
L’histoire commence avec le narrateur à la première personne décrivant le musée Tolstoï. Le narrateur avait convaincu la sécurité d’abaisser toutes les peintures de Tolstoï de six pouces. Certaines caractéristiques inhabituelles de la vie de Tolstoï, telles que sa tendance à s’incliner «en arrière» (109), ont été révélées. Après quelques illustrations du visage de Tolstoï sur deux pages entières, le narrateur revient à la description du musée. Le musée était structuré comme une pyramide renversée instable, empilée comme trois boîtes les unes sur les autres.
Selon le narrateur, les gardiens du musée portent des seaux de mouchoirs en raison de la tendance du musée à faire pleurer les gens à cause de la ressemblance de Tolstoï avec un père déçu.
Le narrateur se souvient alors d’une des histoires de Tolstoï qu’il a lues. Dans l’histoire, un évêque navigue vers une île pour enseigner aux indigènes comment prier correctement. Lorsque les indigènes disent qu’ils ont oublié ses enseignements, l’évêque leur dit d’utiliser leur ancienne méthode de prière. Cette histoire a rendu le narrateur triste.
Après quelques photos des objets exposés au musée et de l’architecture du musée, le narrateur décrit la place du musée, dans laquelle un homme joue de la trompette en bois. D’autres visiteurs du musée discutent de la capacité d’inspiration du musée et du musicien, et le narrateur remarque qu’il attend toujours qu’il lui arrive quelque chose de « vivifiant » (118) dans une autre section du musée.
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