[ad_1]
Au Bonheur des Dames présente un regard sur le Paris de la fin du XIXe siècle et l’introduction du grand magasin. Il examine de près les conditions dans le grand magasin, ainsi que l’attrait pour ses clients et son impact sur les petites entreprises. Cette toile de fond est le théâtre d’une romance naissante entre Mouret, le propriétaire du magasin, et une fille de province, Denise, un match improbable compte tenu de leur statut social différent. Alors que Denise apprend la lutte pour la survie, Mouret découvre que son argent ne peut pas acheter ce qu’il veut vraiment.
Denise arrive à Paris avec ses frères un an après la mort de ses parents. Elle espère obtenir un emploi promis dans la boutique de son oncle Baudu. Son oncle ne lui fait pas un accueil chaleureux. Denise finit par trouver un emploi au grand magasin, mais après presque un an, elle n’arrive toujours pas à joindre les deux bouts. Elle prend du travail supplémentaire, ce qui conduit à son licenciement. Elle passe deux mois dans la pauvreté, jusqu’à ce que l’ami de son oncle et son propriétaire lui donnent un travail, même s’il n’a besoin d’aucune aide dans son entreprise en difficulté. Denise travaille avec lui pendant plusieurs mois jusqu’à ce qu’elle trouve un emploi dans un autre magasin.
Mouret utilise et exploite les femmes, dont Madame Desforges. Après la chance de l’expansion du magasin après la mort de sa première femme, il jure de ne pas se remarier, mais d’épuiser les Parisiennes pour faire fortune. Alors que le magasin grandit et que le succès dépasse ses rêves, il constate qu’il ne peut s’empêcher de penser à Denise. Lorsqu’elle revient au magasin alors que l’autre magasin est en train de mourir, Mouret devient obsédé par elle. Cependant, Denise refuse d’être achetée. Elle veut rester respectable, principalement pour des raisons pratiques de garder sa vie calme et prévisible.
La lutte de Baudu contre le grand magasin ruine sa famille. Son assistant part à la poursuite d’une vendeuse sordide au lieu d’épouser la fille de Baudu, Geneviève, et de reprendre l’affaire. Ce coup tue Geneviève. Sa mort représente la mort des vieux commerces du quartier, alors que tous les commerces sont écrasés par le grand magasin. Peu de temps après, la femme de Baudu meurt également. Le voisin de Baudu, Bourras, refuse de laisser Mouret prendre sa maison, mais finalement Mouret trouve un moyen d’agrandir le magasin pour occuper tout le bloc.
Mouret souffre de désir pour Denise. Il abandonne ses affaires et perd tout intérêt pour le succès de son entreprise. Denise s’inquiète des rumeurs dans le grand magasin à son sujet. Elle se lie d’amitié avec Mouret, mais résiste toujours à devenir sa maîtresse. Elle décide de quitter le magasin, sachant qu’elle cédera bientôt à Mouret sinon, et ne voulant pas que les autres employés pensent mal d’elle. Mouret ne veut pas qu’elle parte. Il se rend compte qu’il préférerait l’épouser plutôt que de souffrir davantage. Elle se prépare à partir en congé prévu, où Mouret l’épousera et la ramènera avec une réputation sans tache.
[ad_2]
Source link