mardi, novembre 19, 2024

Ansichten eines vorlauten Beuteltiers de Marc-Uwe Kling

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Les Chroniques Kangourou

C’est le premier roman que je lis en allemand, donc je me sens assez béat en ce moment. En une semaine environ, ce livre m’a été suggéré ou recommandé environ trois fois, en personne et par des robots Internet. Lorsque cela se produit, j’en prends généralement note, et comme j’essaie d’élargir mon régime médiatique pour inclure plus de matériel en allemand, j’ai pensé que je ferais un essai.

C’était un bon choix pour mon premier roman allemand, car chaque « chronique » est courte (3-5 pages), le livre lui-même est drôle et

Les Chroniques Kangourou

C’est le premier roman que je lis en allemand, donc je me sens assez béat en ce moment. En une semaine environ, ce livre m’a été suggéré ou recommandé environ trois fois, en personne et par des robots Internet. Lorsque cela se produit, j’en prends généralement note, et comme j’essaie d’élargir mon régime médiatique pour inclure plus de matériel en allemand, j’ai pensé que je ferais un essai.

C’était un bon choix pour mon premier roman allemand, car chaque « chronique » est courte (3-5 pages), le livre lui-même est drôle et il y a rarement des phrases longues à la Thomas Mann. Je l’ai lu sur mon Kindle que j’avais chargé avec un dictionnaire allemand / anglais, cela s’est avéré très pratique pour beaucoup de mots, bien que le kangourou parle très bien l’allemand, il y avait donc beaucoup de mots que je ne pouvais pas confirmer dans le dictionnaire. J’ai ensuite dû utiliser mes indices contextuels !

Le livre en lui-même était vraiment bon et très drôle. C’est écrit de manière autobiographique, où Marc-Uwe Kling fait emménager un kangourou à côté et finit par emménager avec lui. Le kangourou est un personnage très agréable, mais il faut dire que c’est un terrible connard. Cela fait partie de ce qui est si agréable chez lui. Il est communiste (maoïste) et a combattu au Viet Cong (ou c’est ce qu’il prétend) et s’insurge souvent contre les maux du capitalisme et des concepts bourgeois. Il dénonce particulièrement les concepts bourgeois comme la dette lorsqu’il doit 4,95 € à Marc-Uwe pour un jouet qu’il a acheté.

Chaque chronique est un bref épisode, allant d’une conversation à une sorte d’événement plus ou moins ridicule. Ils sont généralement très divertissants et j’ai beaucoup apprécié. Je suis sûr qu’il y a eu beaucoup de références ou de jeux de mots qui me sont passés par la tête, mais ceux-ci ont été compensés par le fait que lorsque je reçois une blague dans ma langue seconde, la suffisance que je ressens en la comprenant ajoute un frisson supplémentaire.

Quoi qu’il en soit, c’était un bon moment et j’ai beaucoup apprécié! Il y en a deux autres dans cette série, et je prévois de les découvrir bientôt.

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