mardi, décembre 24, 2024

Analyse de la thyroïde

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Comment le test est effectué

Le test se fait de cette façon :

  • On vous donne une pilule qui contient une petite quantité d’iode radioactif. Après l’avoir avalé, vous attendez que l’iode s’accumule dans votre thyroïde.
  • La première analyse est généralement effectuée 4 à 6 heures après la prise de la pilule d’iode. Une autre analyse est généralement effectuée 24 heures plus tard. Pendant l’examen, vous vous allongez sur le dos sur une table mobile. Votre cou et votre poitrine sont positionnés sous le scanner. Vous devez rester immobile pour que le scanner obtienne une image claire.

Le scanner détecte l’emplacement et l’intensité des rayons émis par la matière radioactive. Un ordinateur affiche des images de la glande thyroïde. D’autres scans utilisent une substance appelée technétium au lieu de l’iode radioactif.

Comment se préparer au test

Suivez les instructions pour ne pas manger avant le test. Il se peut qu’on vous dise de ne pas manger après minuit avant votre scanner le lendemain matin.

Dites à votre fournisseur de soins de santé si vous prenez quelque chose qui contient de l’iode, car cela pourrait affecter vos résultats de test. Cela inclut certains médicaments, notamment les médicaments pour la thyroïde et les médicaments pour le cœur. Les suppléments tels que le varech contiennent également de l’iode.

Informez également votre fournisseur si vous avez :

  • Diarrhée (peut diminuer l’absorption de l’iode radioactif)
  • A eu des tomodensitogrammes récents utilisant un contraste intraveineux à base d’iode (au cours des 2 dernières semaines)
  • Trop peu ou trop d’iode dans votre alimentation

Retirez les bijoux, prothèses dentaires ou autres métaux car ils peuvent interférer avec l’image.

Comment le test se sentira

Certaines personnes trouvent inconfortable de rester immobile pendant le test.

Pourquoi le test est effectué

Ce test est fait pour :

  • Évaluer les nodules thyroïdiens ou le goitre
  • Trouver la cause d’une glande thyroïde hyperactive
  • Rechercher un cancer de la thyroïde (rarement, car d’autres tests sont plus précis pour cela)

Résultats normaux

Les résultats des tests normaux montreront que la thyroïde semble être de la bonne taille, de la bonne forme et au bon endroit. C’est une couleur grise uniforme sur l’image de l’ordinateur sans zones plus sombres ou plus claires.

Que signifient les résultats anormaux

Une thyroïde agrandie ou poussée d’un côté peut être le signe d’une tumeur.

Les nodules absorbent plus ou moins d’iode, ce qui les rendra plus foncés ou plus clairs sur le scan. Un nodule est généralement plus léger s’il n’a pas absorbé l’iode (souvent appelé nodule « froid »). Si une partie de la thyroïde semble plus claire, il pourrait s’agir d’un problème de thyroïde. Les nodules plus foncés ont absorbé plus d’iode (souvent appelés nodules « chauds »). Ils peuvent être hyperactifs et peuvent être la cause d’une thyroïde hyperactive.

L’ordinateur affichera également le pourcentage d’iode qui s’est accumulé dans votre glande thyroïde (absorption d’iode radioactif). Si votre glande recueille trop d’iode, cela peut être dû à une thyroïde hyperactive. Si votre glande recueille trop peu d’iode, cela peut être dû à une inflammation ou à d’autres dommages à la thyroïde.

Des risques

Toutes les radiations ont des effets secondaires possibles. La quantité de radioactivité est très faible et il n’y a pas eu d’effets secondaires documentés.

Les femmes enceintes ou qui allaitent ne devraient pas subir ce test.

Parlez à votre fournisseur si vous avez des inquiétudes au sujet de ce test.

Considérations

L’iode radioactif quitte votre corps par l’urine. Vous ne devriez pas avoir à prendre de précautions particulières, comme rincer deux fois après avoir uriné, pendant 24 à 48 heures après le test car la dose d’iode radioactif est très faible. Demandez à votre fournisseur ou à l’équipe de radiologie/médecine nucléaire effectuant l’examen de prendre des précautions.

Les références

Blum M. Imagerie thyroïdienne. Dans : Jameson JL, De Groot LJ, de Kretser DM, et al, eds. Endocrinologie : adulte et pédiatrique. 7e éd. Philadelphie, Pennsylvanie : Elsevier Saunders ; 2016 : chap. 79.

Salvatore D, Cohen R, Kopp PA, Larsen PR. Physiopathologie thyroïdienne et évaluation diagnostique. Dans : Melmed S, Auchus RJ, Goldfine AB, Koenig RJ, Rosen CJ, eds. Manuel Williams d’endocrinologie. 14e éd. Philadelphie, Pennsylvanie : Elsevier ; 2020 :chapitre 11.

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