Anaida Poilievre : Comment l’opposition vénézuélienne a déjoué les plans du dictateur socialiste Nicolás Maduro

La nation a été plongée dans un tourbillon de mauvaise gestion et de corruption par le régime Chávez-Maduro

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La chute du Venezuela est une histoire de rêves brisés et d’espoirs brisés. Autrefois pays prospère, le pays est aujourd’hui aux prises avec une économie en ruine, des prix exorbitants, une criminalité galopante et un manque de biens de première nécessité et de liberté. Cette dure réalité a poussé près d’un quart de sa population à chercher une vie meilleure ailleurs, marquant le plus grand exode de l’histoire du pays.

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Les racines de ce désordre remontent au régime socialiste d’Hugo Chávez et de son successeur, Nicolás Maduro. Sous leur direction, le pays a plongé dans un tourbillon de mauvaise gestion et de corruption. Le résultat ? Un pays riche en pétrole mais pauvre en besoins quotidiens. L’hyperinflation a rendu la monnaie vénézuélienne, le bolivar, presque sans valeur. Imaginez avoir besoin d’une brouette pleine d’argent liquide juste pour acheter une miche de pain ! Le Fonds monétaire international a prévu une inflation supérieure à 1,5%. 10 millions pour cent Ces dernières années, l’effondrement économique s’est accompagné d’une hausse de la criminalité. Le taux de criminalité au Venezuela est l’un des plus élevés au monde, Caracas étant régulièrement classée parmi les villes les plus dangereuses au monde. La pénurie de biens de première nécessité comme la nourriture et les médicaments a transformé la vie quotidienne en une lutte éreintante pour la survie.

Mais au milieu de cette morosité, une lueur d’espoir a émergé. La récente élection présidentielle a bouleversé les choses, et le mérite en revient à María Corina Machado, la dame de fer du Venezuela, qui, avec son esprit vif et sa volonté inébranlable, a apporté une nouvelle vague d’espoir au pays.

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Le 28 juillet, l’élection présidentielle a eu lieu au Venezuela. Malgré les efforts de Maduro pour s’accrocher au pouvoir par des moyens douteux tels que l’intimidation des électeurs, la falsification des bulletins de vote et la désinformation, Edmundo González est sorti vainqueur légitime, et l’opposition a été la cible de nombreuses attaques. a la preuve.

Cela a été possible grâce à un effort bien coordonné mené par María Corina Machado. Elle a mobilisé toute une nation, avec plus de sept millions d’électeurs. se présenter pour Edmundo González et environ 3,2 millions pour Maduro. Le slogan « hasta el final » (jusqu’à la fin) est devenu le cri de ralliement d’une nation déterminée à mener à bien son combat pour un avenir meilleur. La planification astucieuse de Machado le soir des élections a changé la donne.

Chaque machine à voter fonctionne comme une caisse enregistreuse : lorsqu’elle se ferme, elle imprime et envoie un reçu appelé « acta » avec un code unique, un code QR et une signature électronique. Les scrutateurs signent les actas et ont droit à une copie. L’opposition, plus unie et organisée que jamais, a mobilisé des dizaines de milliers de scrutateurs pour superviser le processus électoral à travers le pays. Cette fois, ils étaient prêts. Ils ont rapidement collecté et mis en ligne les actas, créant ainsi une preuve solide du véritable décompte des voix.

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Le Conseil national électoral (CNE), contrôlé par Maduro, l’a déclaré vainqueur mais n’a pas encore apporté de preuves. C’est parce qu’il n’en a aucune et qu’il travaille probablement sur un plan pour en fabriquer une fausse. Bien sûr, il a rapidement été soutenu par des alliés comme les dictatures de Cuba, du Nicaragua, de Russie, de Chine et d’Iran, entre autres. Pourtant, ils ont dû faire face à l’indifférence de voisins de gauche clés comme le Brésil, le Mexique et la Colombie, qui ont refusé de reconnaître cette prétendue victoire.

Le Centre Carter, Un groupe de surveillance réputé basé à Atlanta a également jeté le discrédit sur les élections, déclarant qu’elles ne répondaient pas aux normes internationales et ne pouvaient être qualifiées de démocratiques. Cela a alimenté une nouvelle vague de détermination parmi les Vénézuéliens, menée par le tenace Machado.

Les tyrans comme Maduro n’abandonnent pas le pouvoir facilement ou pacifiquement. L’emprise du régime sur l’armée et les forces de sécurité signifie que toute opposition est confrontée à une répression brutale. Les Vénézuéliens luttent courageusement pour leur liberté, mais le prix à payer est élevé. Les effusions de sang et les sacrifices font, tragiquement, partie de leur lutte contre le régime oppressif de Chávez-Maduro.

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Cette fois, la détermination est différente. Elle est plus forte, plus féroce et profondément ancrée dans une volonté collective de voir la justice rendue. Les Vénézuéliens, sous la direction inébranlable de María Corina Machado, ont juré d’avancer « jusqu’au bout ». Ils ne cèdent pas et les vents du changement soufflent plus fort que jamais.

Le message adressé à Maduro et à ses complices est donc clair : votre heure est venue. Le peuple vénézuélien en a assez de vos jeux. Avec sa dame de fer à la barre, il marche vers une nouvelle aube, prêt à récupérer ses terres et à reconstruire ce qu’il a perdu. Le combat est lancé, et cette fois, il se poursuivra jusqu’au bout.

Anaida Poilievre est une immigrante vénézuélienne, fondatrice d’un magazine en ligne pour les femmes, militante pour la fin de la traite des êtres humains, ancienne conseillère politique et épouse de Pierre Poilievre, chef du Parti conservateur du Canada.

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