Voici quelques extraits notables des colonnes de commentaires FP qui ont été diffusées en septembre et octobre
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La chance de Charles
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L’idée de la monarchie, comme on l’a souvent dit depuis la triste nouvelle de Balmoral la semaine dernière, est d’assurer la continuité. Lorsqu’une personne règne pendant 70 ans, c’est évidemment atteint, même si la personne elle-même passe de jeune mère à arrière-grand-mère. Mais une telle longévité personnelle n’est pas nécessaire. En fait, le fait est que le institution est permanent, son occupant non. De cette façon, le nouveau roi Charles pourrait nous en apprendre plus sur la force et la valeur de la monarchie britannique/canadienne que même sa remarquable mère ne l’a fait. — William Watson, 13 septembre.
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Démanteler l’ONU
Assemblée générale annuelle de cette semaine diatribe politique par le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, devrait servir de signe qu’il est peut-être temps de commencer à travailler sur le démantèlement de l’ONU, peut-être en transformant son siège emblématique en une tour d’habitation où les gens normaux peuvent remplacer les maniaques du contrôle antidémocratiques et en quête de pouvoir qui errent maintenant ses couloirs à la recherche de nouveaux schémas idéologiques et de peurs à infliger à un monde déjà troublé. Le premier de ces vagabonds du corridor à partir devrait être Guterres. Mardi, en tant que principale personnalité politique de l’ONU, il a présenté ce qui pourrait être considéré comme deux arguments centraux pour soutenir le démantèlement de l’organisation. Raison 1 : si l’état du monde est aussi désastreux que le décrit Guterres, alors l’ONU doit être considérée comme un échec organisationnel et diplomatique massif… Raison 2… : il existe de nombreuses preuves pour conclure que bon nombre des problèmes identifiés ont en fait été créés par les Nations Unies par le biais de ses diverses agences et politiques. À quoi sert le soi-disant Conseil de sécurité qui siège impuissant alors qu’un de ses membres, la Russie, envahit un État voisin ? — Terence Corcoran, 23 septembre.
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Moonshine clair de lune
Un argument populaire en faveur des subventions est de stimuler les industries naissantes « moonshot » qui n’existeraient pas sans l’argent public. Mais cela présuppose que tous les gouvernements sages savent non seulement quelles industries sont les futures stars, mais quelle entreprise va être la supernova. Bien que les gouvernements ne puissent pas distinguer les gagnants des perdants, les perdants savent comment choisir les gouvernements. Certes, le soutien du gouvernement aux industries naissantes a eu un succès limité – et certaines personnes gagnent à Vegas – mais des troupeaux entiers d’éléphants blancs ont également obtenu un financement. Avez-vous déjà entendu parler d’automobiles « à air comprimé » co-construites par la société indienne Tata ? Ou le gâchis de la raffinerie Northwest en Alberta? — Jack M. Mintz, 14 octobre.
Mastication du marché
En ce qui concerne la concurrence, les oligopoles et les monopoles, le marché a le don de mâcher les entreprises qui semblent être assises au sommet d’une montagne de pouvoir économique. Malgré les preuves historiques du succès de la concurrence dans la chute des grandes entreprises, la théorie dominante de nos jours est que seuls les organismes gouvernementaux, les bureaux de la concurrence et les régulateurs renversent le pouvoir du marché. Que les marchés fonctionnent efficacement en dehors des théories obscures des régulateurs de la concurrence est un peu de la science économique et de l’histoire trop souvent ignorée – peut-être volontairement – par les broyeurs de hache et les chercheurs de pouvoir. — Terence Corcoran, 26 octobre.
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Quelle austérité ?
Quiconque pense que nous avons traversé une période d’austérité au cours de laquelle les gouvernements ont dû réduire leurs effectifs, rogner et se débrouiller devrait passer du temps à parcourir les milliers et les milliers de subventions que le gouvernement fédéral verse. Chacun représente un fil d’intérêt mutuel dans ce qui est maintenant un vaste réseau collant et étouffant d’influence socio-politique. — William Watson, 8 septembre.
Déchets réveillés
Il n’y a, au fond, aucune justification des réglementations obligeant les employeurs à mettre des produits pour femmes dans les toilettes des hommes, sauf que le gouvernement fédéral s’est engagé de manière flamboyante à démontrer son éveil et à gaspiller l’argent de tout le monde. J’ai lu quelque part que les pissenlits, aussi disgracieux soient-ils, ont au moins beaucoup de vitamines et peuvent être utilisés dans les salades et pour faire des thés. Dommage que les réglementations gouvernementales réveillées, contrairement aux pissenlits, n’aient pas de grâces salvatrices. — Matthew Lau, 25 octobre.
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Qu’en est-il des pertes exceptionnelles ?
Si les gouvernements vont partager les gains exceptionnels des entreprises, ne devraient-ils pas également partager leurs pertes exceptionnelles ? Les entreprises à risque connaissent des hauts et des bas. Ils ont besoin des profits élevés des bonnes années pour compenser les pertes des mauvaises années. Les gouvernements qui ne partagent pas les pertes nuisent le plus à ces entreprises risquées. De nombreuses entreprises ont perdu de l’argent pendant la pandémie. Ils ont obtenu des subventions salariales pour garder les gens dans l’emploi et des crédits moins chers dans le cas des petites entreprises. Mais les gouvernements n’ont pas envoyé de chèques aux entreprises pour couvrir leurs pertes exceptionnelles. Maintenant que les temps vont mieux et qu’ils gagnent à nouveau de l’argent, est-il vraiment juste de les taxer davantage ? — Jack M. Mintz, 28 octobre.
Les vrais anti-démocrates
N’ayant pas réussi à faire valoir leurs arguments dans l’arène politique, les écologistes demandent de plus en plus aux tribunaux d’imposer des restrictions que les électeurs n’ont pas soutenues. Dans une affaire en cours, six adolescents demandent à la Cour supérieure de l’Ontario d’accepter que le changement climatique viole leurs droits et d’ordonner au gouvernement de mettre en œuvre des mesures pour limiter les émissions de gaz à effet de serre – même si l’Ontario ne représente que 0,3 % des émissions mondiales… C’est insondable que les tribunaux acceptent d’usurper l’autorité gouvernementale et dictent la consommation d’énergie, qui est la base de notre civilisation et de notre économie. Pourtant, pas un mot n’a été entendu dans les médias sur la nature anti-démocratique de cette initiative. — Philip Cross, 7 octobre.