Des policiers en tenue anti-émeute ont été aperçus le long des rues du centre-ville de Montréal.
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Des manifestants sont descendus dans les rues du centre-ville de Montréal jeudi soir pour protester contre la Démantèlement du campement de l’Université McGill.
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Ce qui a commencé comme un rassemblement pro-palestinien sur la place Phillips vers 21 heures a rapidement pris d’assaut le centre-ville. Des manifestants scandant des slogans, dont beaucoup étaient masqués, ont parcouru la rue Sainte-Catherine, avec des policiers en tenue anti-émeute qui les encadraient de chaque côté.
Un message a été diffusé dans les haut-parleurs de la police, ordonnant à la foule de se disperser et déclarant la manifestation illégale.
Entre-temps, des affrontements physiques ont éclaté entre les policiers et les manifestants, la police tirant du gaz poivré et des gaz lacrymogènes à plusieurs reprises.
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Mais les manifestants ont continué à défiler dans le centre-ville de Montréal pendant que les passants les filmaient avec leurs téléphones et que les gens dans les voitures, bloqués par la manifestation, regardaient à travers leurs fenêtres.
Certains manifestants ont commencé à se disperser au fil de la nuit, beaucoup d’entre eux prenant le métro, tandis que d’autres continuaient à manifester, ce qui a donné lieu à de nouveaux affrontements avec la police. À 21h45, la plupart des manifestants avaient quitté les lieux.
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Joint par The Gazette vers 22h15, le Service de police de la Ville de Montréal ne pouvait pas encore confirmer s’il y avait eu des arrestations ou des blessés.
Les événements ont suivi la démantèlement du campement de protestation pro-palestinien à McGill, qui se trouvait sur le campus du centre-ville de l’université depuis plus de deux mois avant d’être démantelé par de la machinerie lourde mercredi matin.
En plus de la police, une entreprise de sécurité privée embauchée par McGill a participé au démantèlement.
McGill a déclaré jeudi que l’escalade préoccupations en matière de santé, de sûreté et de sécurité L’organisation a pris la décision de démanteler le camp, en invoquant des preuves de consommation de drogue et une prétendue infestation de rats. Elle a également affirmé que la plupart des personnes hébergées dans le camp n’étaient pas des étudiants, y compris des sans-abri.
Les représentants du campement ont qualifié ces allégations de « sans fondement ».
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