Adam Sandler réfléchit à l’obtention de critiques sévères pour Billy Madison et ses autres premiers films : « Ils nous détestent »

Adam Sandler screaming at the dinner table in Billy Madison

Adam Sandler est pas étranger à la critique. Depuis son premier rôle principal dans Billy Madison, un film que l’alun de SNL a co-écrit, il a dû faire face à des critiques écrivant des mots durs sur lui et le travail acharné de son collaborateur. Les critiques négatives ne sont pas un aspect du travail que la star de la comédie dit qu’il avait une idée de quand il est entré dans l’entreprise à l’âge de 17 ans. Il a récemment révélé dans une interview que tout ce qui le préoccupait lorsqu’il a commencé à jouer était le fait son nom pourrait apparaître à New York!–une publication qu’il a grandi en lisant. Sandler s’est vite rendu compte que traiter avec les critiques faisait partie du divertissement. Bien que les mauvaises critiques puissent être un aspect démoralisant du travail, l’acteur dit qu’il essaie de rester optimiste en ce qui concerne mauvaises critiques de ses comédies.

Sandler, maintenant âgé de 56 ans, a révélé dans une récente interview faisant la promotion de son comédie dramatique de basket-ball saluée par la critique, Agitationque lorsque Madison a été libéré, il a été choqué par la quantité de haine que le film a reçue. Selon l’acteur, 90% des critiques ont qualifié le film de « poubelle ». Il a déclaré à Netflix via Entertainment Weekly :

Quand j’avais 17 ans et que je me suis lancé là-dedans, je ne pensais pas aux critiques … Je ne savais même pas que ce genre de choses arrivait. Je pensais juste que tu faisais des films, les gens vont le voir. Quand Billy Madison est sorti, moi et mon ami qui l’a écrit. On s’est juste dit : ‘Oh ouais, ils vont écrire sur ça à New York !’ Nous avons grandi en lisant les journaux, nous allions à NYU. Et puis on a lu le premier et on s’est dit : ‘Oh mon dieu, qu’est-ce qui s’est passé ? Ils nous détestent. Et puis on s’est dit : « Ça devait être ce journal », mais 90 % des journaux disent : « C’est de la foutaise ».

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