Une passion dévorante pour les voitures se manifeste à travers l’acquisition d’une Nissan 240SX LE de 1992, soigneusement entretenue par son précédent propriétaire. L’auteur partage son parcours automobile, ayant collectionné divers modèles emblématiques des années 90. Bien que la MR2 ait des qualités supérieures, la 240SX reste son choix de cœur. Son projet consiste à transformer cette voiture en une version inspirée de la 180SX Type-X japonaise, avec des modifications stylées et audacieuses.
Une Passion Dévorante pour les Voitures
Les voitures, c’est une véritable addiction, et je suis en phase terminale. Après avoir acheté et revendu près de 20 véhicules pendant la pandémie (avec quelques pertes occasionnelles), j’ai enfin déniché celle que je prévois de garder. Oui, vous avez bien lu cette fois-ci. Il s’agit d’une Nissan 240SX LE de 1992, équipée d’une transmission manuelle et arborant une magnifique teinte rouge aztèque. Dans un monde où la plupart des 240 ont été driftées contre un mur, celle-ci est un véritable trésor.
Je suis le troisième propriétaire, et la femme professionnelle qui m’a vendu la voiture l’a chérie pendant 27 ans. La cerise sur le gâteau ? Elle est accompagnée d’un dossier d’entretien complet depuis le premier kilomètre. Je parle d’un carnet d’entretien si épais qu’il pourrait presque rivaliser avec un roman à succès. En prime, j’ai même l’autocollant d’origine sur la vitre.
Un Voyage à Travers les Années 90
Pour vous donner une idée de mon parcours automobile, je me suis concentré sur des véhicules emblématiques des années 90 et début 2000 durant la pandémie. Ma collection a inclus plusieurs DC Integras, des BMW E30, une Mercedes 190E et une Camaro de quatrième génération. J’ai même mis la main sur une Toyota MR2 de 1993, soigneusement gardée en garage, avec un faible kilométrage et un unique propriétaire. C’était une véritable perle : toit T, phares escamotables, moteur central, transmission manuelle et un intérieur en cuir noir rare. La seule chose qui lui manquait ? Un turbo. Néanmoins, c’était l’une de mes meilleures découvertes.
Comment j’ai abouti à cette voiture est à la fois complexe et incroyablement simple. Il a fallu un nombre presque comique d’événements pour en arriver là, mais honnêtement, j’ai vu cela venir de loin. Je suis pratiquement né dans l’univers de Nissan. Mes premiers souvenirs remontent à la banquette arrière de la Datsun 510 de mon père, et j’ai passé d’innombrables heures à le voir travailler sur une Nissan Skyline Kenmeri de 1973 dans notre garage. Actuellement, ma voiture de projet est une Datsun 280Z de 1975. La passion pour Nissan coule dans mes veines, tout comme l’adamantium dans Wolverine.
En fait, c’est ma quatrième 240SX. Ma première était un coupé 1989 acheté pour 1 600 $ au lycée. Ensuite, pendant mes études, j’ai conduit une 240SX S14 Zenki de 1996. Au début de la pandémie, j’avais une autre S13 rouge aztèque. Ce qui m’attire dans ces voitures, c’est leur style des années 90 et leur simplicité. Un coupé léger, à propulsion arrière avec des sièges arrière ? Oui, ce ne sont pas les plus pratiques, mais j’apprécie l’espace supplémentaire. En tant que hatchback, elle peut même accueillir ma planche de surf de 8 pieds sans problème.
Le cœur de cette voiture est le moteur inline-4 KA24DE. Bien qu’il soit souvent qualifié de « moteur de camion », il est reconnu pour sa durabilité et sa facilité d’entretien. Avec des soins appropriés, ces moteurs peuvent facilement franchir les 300 000 miles. Ce n’est pas le plus rapide, mais c’est fiable, simple à entretenir et possède un charme indéniable.
Et me voilà, ayant vendu la MR2 pour une autre 240SX. Soyons honnêtes : la qualité de construction de la MR2 était supérieure. Elle tenait mieux la route, sans aucun doute, avec 50 000 kilomètres de moins et un style sans pareil. Sur le papier, elle l’emporte dans toutes les catégories. Aurais-je gardé la MR2 si elle avait été le modèle turbo ? Probablement pas. Bien que la MR2 soit spéciale, elle n’a jamais été ma voiture de rêve. Si je devais choisir un véhicule pour l’éternité, la réponse serait simple : une Datsun Z ou une Nissan 240SX.
Quelle est la suite pour cette voiture ? Vous vous attendez probablement à ce que je dise : « Restons d’origine », et que je termine là. Mais non. Mon projet est de recréer l’iconique 180SX Type-X du Japon. Au Japon, ce châssis a continué à être produit jusqu’en 1998, et pour ses dernières années, la version la plus aboutie, le Type-X, se distinguait par un style vraiment percutant. Un pare-chocs avant affûté, des bas de caisse ondulés avec un bouclier arrière assorti, et le spoiler et les feux arrière les plus cool que vous ayez jamais vus. Si vous n’êtes pas familier, je vous encourage à vous renseigner. Ou mieux encore, restez à l’écoute et suivez la transformation ici même.