Accusation d’attentat à la pudeur portée dans le cadre d’une enquête sur un pensionnat du Manitoba

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WINNIPEG — Une accusation a été portée après une enquête d’une décennie sur des allégations d’abus dans un pensionnat du Manitoba.

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La province a confirmé jeudi qu’une personne avait été accusée d’un chef d’attentat à la pudeur contre une femme dans le cadre de l’enquête sur l’ancien pensionnat de Fort Alexander, au nord-est de Winnipeg.

La GRC du Manitoba n’a pas commenté l’accusation, mais a déclaré que la police avait procédé à une arrestation dans le cadre de l’enquête et qu’elle publierait plus d’informations vendredi matin lors d’une conférence de presse à Winnipeg.

Le communiqué de la GRC avertit que les informations à discuter pourraient être bouleversantes ou traumatisantes.

L’école a été ouverte en 1905 dans la communauté de Fort Alexander, qui est devenue plus tard la Première Nation Sagkeeng, et a fermé en 1970.

Les gendarmes ont déclaré que les agents de l’unité des crimes majeurs ont commencé à enquêter sur le pensionnat en 2010 et qu’une enquête criminelle a commencé l’année suivante.

La police a déclaré que l’enquête impliquait d’examiner les dossiers archivés de l’école, y compris les listes d’élèves et d’employés.

Les agents ont également interrogé plus de 700 personnes à travers l’Amérique du Nord.

La police montée a déclaré l’année dernière que la GRC attendait les conseils des procureurs de la Couronne de la province concernant les accusations.

La Première Nation de Sagkeeng a récemment découvert 190 anomalies lors d’une recherche près de l’école de Fort Alexander à l’aide d’un géoradar.

Les données initiales montrent que les irrégularités correspondent à certains des critères des tombes, mais les dirigeants de la communauté ont déclaré que davantage d’informations étaient nécessaires.

L’école de Fort Alexander avait la réputation d’être maltraitée.

Nous nous excusons, mais cette vidéo n’a pas pu se charger.

Les survivants ont parlé à la Commission Vérité et Réconciliation de la famine et d’une discipline sévère. Des enfants de près de deux douzaines de Premières nations fréquentaient l’école pendant environ 10 mois de l’année.

Selon le rapport final de la commission, Phil Fontaine, ancien grand chef de l’Assemblée des chefs du Manitoba et ancien chef national de l’Assemblée des Premières Nations, a mis les expériences dans les pensionnats à l’ordre du jour national en 1990 lorsqu’il a révélé ses propres abus sexuels au Fort L’école d’Alexandre.

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