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La version suivante de ce poème a été utilisée pour créer ce guide : « To a Skylark ». Shelley, Percy Bysshe. Shelley : Œuvres poétiques. Edité par Thomas Hutchinson, Oxford University Press, 1967.
Notez que toutes les citations entre parenthèses dans le guide font référence aux vers du poème (1-105) dont les citations sont tirées.
« To a Skylark » est l’un des poèmes les plus célèbres de Shelley. Publié pour la première fois en 1820, il fait appel à la majesté ésotérique de la nature, en se concentrant sur l’alouette comme représentant idéal de la joie naturelle. Shelley suggère tout au long du poème que l’oiseau, aperçu fugacement, est un émissaire d’un ordre divin que l’esprit humain ne peut que commencer à comprendre. L’ode de Shelley à l’oiseau regorge de références à l’illumination transcendantale. Ses vers offrent une réflexion approfondie sur la nature de l’humanité – ses limites et sa propension unique au désespoir et à la discorde.
Shelley fait un certain nombre de comparaisons différentes avec l’oiseau en vol – dont aucune ne semble tout à fait adéquate – comme la beauté singulière de l’alouette comme symbole d’un bonheur débridé. Ce à quoi Shelley se débat tout au long du poème est la nature de l’extase, un état qui ne s’accorde que de manière éphémère avec la condition humaine, inhibé par les angoisses et les découragements quotidiens. L’écriture de Shelley est à la fois énergique et lyrique. Les modes d’enquête proposés par le poète font appel à l’intuition et aux émotions humaines.
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