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« A Narrow Fellow in the Grass » aurait été écrit en 1865. Un an plus tard, il a été publié anonymement sous le titre « The Snake » dans un journal appelé le républicain de Springfield. Le monde naturel est dépeint de manière vivante tout au long de l’œuvre de Dickinson, et ce poème examine de près l’une des créatures les plus infâmes de la nature, le serpent.
Le poème commence par une description du choc de rencontrer un serpent. Bien que l’orateur du poème n’utilise jamais réellement le mot « serpent », la scène est suffisamment familière pour que la plupart des lecteurs s’y rapportent. Le serpent est presque magique alors qu’il se déplace, comme un fantôme, à travers les hautes herbes. L’orateur ne voit que des éclairs de la peau écailleuse du serpent, mais il y a des preuves de sa présence lorsque l’herbe se sépare dans son sillage.
Le poème poursuit en illustrant comment les serpents peuvent être trompeurs. Le mot « pieds nus » rend l’orateur encore plus vulnérable à la menace potentielle du serpent. Prenant un serpent pour le coup de fouet sur le sol, l’orateur se penche pour l’attraper et est surpris de le voir s’éloigner.
Le serpent, l’une des créatures les plus notoires du monde naturel, a longtemps été un symbole de trahison. Bien que l’orateur du poème prétende être un amoureux de la nature, il semble que le serpent, bien que fascinant, soit impossible à aimer. En fait, le locuteur réagit au serpent comme s’il s’agissait d’une manifestation vivante de la terreur de l’inconnu, car il est à la fois effrayant et effrayant.
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