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Dans Adrift, Steven Callahan traverse l’Atlantique à bord du bateau qu’il a conçu, le Napoleon Solo. Son navire fait naufrage et Callahan se retrouve seul sur l’océan Atlantique avec seulement un radeau de sauvetage et des provisions limitées. Il lutte contre la faim et la fatigue, contre ses propres pulsions et épuise ses ressources limitées, en espérant qu’elles seront suffisantes. Après soixante-seize jours de lutte de l’homme contre la nature, il est sauvé.
Au début du livre, Steven Callahan vient de réaliser son rêve de toujours : traverser l’Atlantique. Il prévoit de faire le voyage retour en inscrivant son prototype, le Napoleon Solo, à la Mini-Transat, une course transatlantique en solitaire de 600 milles entre Penzance et les îles Canaries. Mais le Solo est endommagé par des vents violents et doit s’arrêter pour des réparations. La course est perdue. Le Napoleon Solo est mis en cale sèche en Espagne pendant deux mois. Callahan, impatient, lève l’ancre fin janvier. Seul et à nouveau en mer, il se dirige vers les îles Canaries.
Une fois de plus, le petit Napoleon Solo rencontre des difficultés avec les conditions météo. Cette fois, il n’y survit pas. Callahan est abandonné à la dérive dans un radeau de sauvetage. Après un effort frénétique pour récupérer le matériel de son navire qui coule rapidement, Callahan dit adieu à son cher navire et tente de s’adapter à son nouveau contexte. Disposant de maigres réserves de nourriture et d’eau, Callahan apprend rapidement à pêcher la dorade avec son fusil harpon et à dessaler l’eau de mer avec des alambics solaires.
Malgré tous ses efforts, Callahan commence à se détériorer. Ses membres s’atrophient. L’eau salée ronge sa chair. Son régime alimentaire à base de poisson manque de nutriments essentiels. Callahan ne parvient pas à attirer l’attention de plusieurs navires de passage, mais parvient tant bien que mal à maintenir son moral, se laissant souvent aller à la rêverie. L’équipement de Callahan commence à tomber en panne, le forçant à bricoler pour réparer son fusil à harpon. Au fil du temps, Callahan devient de plus en plus faible et découragé.
Un poisson qui se débat inflige des dégâts presque catastrophiques au radeau de sauvetage. Au bord de la panique, Callahan essaie une solution temporaire après l’autre. Finalement, après plusieurs jours de vie dans un radeau gorgé d’eau, Callahan répare la brèche avec un exploit d’ingéniosité spectaculaire. Bien que couvert de plaies croûteuses et épuisé par son épreuve, Callahan est de nouveau optimiste. Les eaux se sont réchauffées.
La chaleur est devenue accablante. Callahan se bat sans cesse contre des alambics solaires peu fiables. Il est souvent obligé de choisir entre l’eau contaminée par le sel ou l’eau de pluie empoisonnée par le contact avec la toile du radeau. Callahan croit qu’il a maintenant dépassé le plateau continental, mais même s’il guette les signes de la terre, son esprit et son corps continuent de se dégrader. Finalement, le dernier alambic solaire tombe en panne, obligeant Callahan à compter sur la pluie. Le temps presse pour Callahan.
Fin avril, Callahan aperçoit la terre. Le lendemain, après soixante-seize jours de dérive, il est secouru par trois pêcheurs. Après une convalescence à Marie Galante, la plus petite île de la Guadeloupe, il finit par retourner dans le Maine. Des années plus tard, Callahan écrit sur son calvaire et consacre sa vie à aider ceux qui ont subi des épreuves tout aussi traumatisantes. L’expérience de Callahan, perdu et seul sur l’Atlantique, lui a appris que la vie d’un homme se mesure à la mesure dans laquelle il la partage avec les autres.
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