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Le directeur des services d’urgence d’Ottawa affirme que la voie d’urgence dans la rue le long de la Colline du Parlement a été bloquée par des camions qui s’étaient enchaînés lors de la manifestation du « Convoi de la liberté » l’année dernière.
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Kim Ayotte affirme que la ville et la police avaient prévu de garder une voie ouverte aux véhicules d’urgence, mais elle a été « perdue » après la première nuit de manifestation.
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Tamara Lich et Chris Barber sont jugés pour méfaits présumés et pour avoir conseillé à d’autres de commettre des méfaits, des intimidations et d’autres délits lors de la manifestation contre les mesures de santé publique liées au COVID-19.
Ayotte a témoigné aujourd’hui devant le tribunal que les voies d’arrêt d’urgence étaient en grande partie maintenues dans le reste de la zone de manifestation.
Il a également été le principal responsable chargé de faciliter un accord entre la ville et les manifestants pour déplacer les camions hors des quartiers résidentiels les 14 et 15 février.
Il affirme que les efforts ont été interrompus le 15 février après un incident avec la police, mais que la police d’Ottawa lui a donné très peu d’informations sur ce qui s’est passé.