Le quart-arrière de la Ligue nationale de football (NFL), Trevor Lawrence, et les influenceurs YouTube Kevin Paffrath et Tom Nash auraient réglé un procès concernant une prétendue divulgation insuffisante de la rémunération dans leurs promotions pour l’échange de crypto-monnaie FTX, aujourd’hui disparu.
Selon selon un rapport de Bloomberg du 16 septembre, les trois personnalités de premier plan ont conclu des propositions d’accords ; cependant, les conditions du règlement n’ont pas été divulguées.
Parmi les célébrités et influenceurs de premier plan impliqués dans le recours collectif, Lawrence, Paffrath et Nash seraient les premiers à être parvenus à un règlement.
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Parmi les autres accusés célèbres dans le recours collectif figurent Tom Brady, Gisele Bündchen, Kevin O’Leary, Shaquille O’Neal, Naomi Osaka et David Ortiz.
Pendant ce temps, Paffrath et Nash font partie des huit Youtubeurs accusés de ne pas avoir divulgué leur indemnisation. Les six autres comprennent Graham Stephan, Andrei Jikh, Jaspreet Singh, Brian Jung, Jeremy Lefebvre et Erika Kullberg.
La société de gestion de talents à l’origine de la promotion de FTX, Creators Agency, est également citée dans le procès.
Le 11 septembre, un dossier judiciaire a révélé que FTX réfléchissait à la manière dont elle pourrait récupérer les millions de dollars qu’elle avait versés aux athlètes célèbres et aux équipes sportives qui faisaient la promotion de l’échange cryptographique avant son insolvabilité en novembre 2022.
Selon le dossier, Trevor Lawrence a reçu 205 555 $, Shaquille O’Neal a reçu environ 750 000 $ et Kevin O’Leary est en tête de liste avec des honoraires de 2 348 338 $.
Le 15 mars, le recours collectif a été initialement déposé, affirmant que les influenceurs n’avaient pas divulgué de manière adéquate la véritable nature de leurs promotions FTX, qui étaient, en fait, du contenu payant plutôt que du contenu découlant d’un véritable intérêt :
« Bien que FTX ait généreusement payé les défendeurs pour promouvoir sa marque et encourager leurs abonnés à investir, les défendeurs n’ont pas divulgué la nature et la portée de leurs parrainages et/ou accords de parrainage, paiements et compensations, ni n’ont fait preuve d’une diligence raisonnable adéquate (le cas échéant). »
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