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Ce roman de fiction spéculative raconte l’histoire de Connie Ramos, une femme hispanique d’âge moyen au passé troublé qui se retrouve soudainement capable de communiquer avec une société future. Alors qu’elle lutte dans le présent pour conserver sa dignité et son indépendance spirituelle face au diagnostic de folie, les expériences futures de Connie éveillent une détermination farouche à ne pas se laisser contrôler ou victimiser. Alors que le récit détaille l’éveil de la conscience de Connie, il explore également des thèmes liés à la nature de l’espoir, aux relations entre parents et enfants et à l’influence de l’avenir sur le présent.
Le roman commence par une intense scène de confrontation entre Connie et sa nièce Dolly, une prostituée enceinte et toxicomane fuyant son proxénète violent. Au milieu des tentatives de réconfort de Connie, le proxénète arrive et la bat, elle et sa nièce, jusqu’à l’inconscience. Connie se réveille pour se retrouver dans un établissement psychiatrique, le proxénète l’y ayant amenée et convaincu les autorités d’admission que ses blessures (infligées par Connie en légitime défense) étaient en fait le résultat de l’explosion de Connie dans une violence non provoquée. Parce qu’elle a des antécédents de violence et de folie, aucune question n’a été posée et elle a été immédiatement envoyée en détention.
Pendant son incarcération à l’hôpital psychiatrique, Connie entre en contact avec un être du futur, Luciente, avec qui elle avait été en contact auparavant et qui lui propose maintenant de lui montrer ce que la vie va devenir. Connie devient brièvement mal à l’aise lorsqu’elle découvre que Luciente, qu’elle pensait être un homme, s’avère être une femme, mais abandonne rapidement son inconfort et se rend (dans sa tête) à Mouth-of-Mattapoisett, la commune de Luciente. maison. C’est le premier de plusieurs « voyages » que Connie effectue dans le futur, où elle découvre (entre autres) que les femmes, au nom de la véritable égalité, ont abandonné ce qui les a toujours rendues vraiment uniques : la capacité de concevoir et avoir des enfants. La procréation, semble-t-il, est désormais la fonction d’une machine spécialisée logée dans un bâtiment appelé la « couveuse ». Connie découvre également que la définition de l’identité par la race ou par l’orientation sexuelle a également été éliminée, que chaque individu dans la communauté vit seul (en d’autres termes, la cellule familiale a disparu), que tout le monde travaille et célèbre en commun, et que la communauté est sous attaque par des personnes appelées The Shapers. Ce sont des scientifiques qui ont affiné les expériences génétiques qui ont conduit la communauté à prendre la forme qu’elle a, et qui veulent poursuivre leurs expériences afin de continuer à aider l’humanité à « s’améliorer ».
De retour dans le présent, alors que Connie fait des allers-retours dans le futur, elle est sélectionnée pour faire l’objet d’une expérience par le Shaper-like Dr. Redding, dans laquelle un petit appareil implanté dans le cerveau de personnes diagnostiquées comme étant chroniquement violentes. (comme Connie) contrôle électroniquement ses émotions. Au fur et à mesure que l’expérience progresse, Connie se rend compte que ceux qui ont l’implant perdent rapidement les aspects de leur personnalité qui les rendent intéressants, uniques et indépendants. Ce n’est qu’une des nombreuses expériences parallèles entre le passé et le présent, expériences qui conduisent Connie à devenir de plus en plus résistante à l’idée d’être manipulée contre sa volonté.
Lors d’une visite particulièrement traumatisante dans le futur, Connie est entraînée par Luciente et d’autres membres de la communauté de Mattapoisett dans une bataille armée avec des forces contrôlées par les Shapers. Elle est choquée de voir que les combattants ennemis ont les visages de Redding et des autres médecins du présent, ce qui la conduit à la conclusion qu’il faut mettre fin à l’influence des «façonneurs» dans les deux périodes. Dans cet esprit, elle obtient du poison et le met dans du café servi à Redding et aux autres, détruisant les «ancêtres» des futurs Shapers et, ce faisant, revendique sa propre revendication de liberté et d’indépendance de pensée et d’identité.
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