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Ce roman se déroule le dernier jour de Geoffrey Firmin, le consul britannique au Mexique. D’ailleurs, il faut que ce soit aussi le Jour des Morts, une fête célébrée au Mexique.
Le roman s’ouvre dans la maison de Monsieur Laruelle, un Français vivant au Mexique, qui partage un long passé avec le consul. Laruelle est aussi amie avec le médecin du village. Les deux se montrent très préoccupés par les habitudes de consommation incontrôlables du consul.
Ensuite, l’auteur présente le consul. Il semble avoir tous les aspects caractéristiques d’un ivrogne. Il entend des voix et imagine des choses. De plus, il perd la trace de grandes portions de temps. Il souffre de la perte de sa femme, qui l’a quitté un an auparavant. Son jeune frère, Hugh, vit avec lui lorsqu’il ne voyage pas pour son travail de journaliste.
Ensuite, le lecteur rencontre Yvonne. Elle retourne au Mexique pour sauver son ex-mari. Elle rêve encore d’une vie heureuse avec lui, loin des mauvais souvenirs du Mexique. Elle passe cependant une grande partie de son temps avec Hugh. Les deux partent à cheval le matin, tandis que le consul tente de devenir sobre. Hugh écoute ses rêves d’une vie paisible mais ne leur montre pas confiance.
De retour au domicile du consul, Hugh aide l’homme plus âgé à s’habiller pour la journée. Sans un verre en quelques heures, le consul ne peut pas suffisamment stabiliser sa main pour se raser en toute sécurité. Yvonne, Hugh et le consul prévoient de se rendre dans la ville voisine de Parian pour se divertir. En sortant de la ville, ils s’arrêtent pour rendre visite à Laruelle. Il semble y avoir une histoire entre Yvonne et Laruelle, mais les détails restent vagues.
Dans le bus en route pour Parian, le trio est témoin d’un homme battu et volé. La loi mexicaine, cependant, les empêche de l’aider. Plus tard, le consul remarque que l’homme, comme lui, a le droit de mourir sans interférence.
Le soir, le consul recommence à boire. Dans une tirade, il proclame son droit de mourir comme bon lui semble. Puis, il sort en trombe de l’hôtel. Yvonne et Hugh le poursuivent, mais un cheval sans cavalier renverse Yvonne, la blessant mortellement. Ils ne trouvent jamais le consul. Ensuite, le lecteur apprend le sort du consul.
Après un certain temps dans un bar et une maison close, la police locale l’arrête sur des accusations douteuses. Le chef de la police tire un coup de feu, n’atteignant rien, mais effrayant le cheval qui, ironie du sort, tue Yvonne. Le consul tombe dans un ravin et meurt.
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