Que font les démons en enfer quand ils ne tourmentent pas les âmes et gambadent dans le soufre ? C’est une question que les érudits et les théologiens ont intriguée et débattue pendant des centaines d’années. Le jeu gratuit Enfer d’une raquette propose une théorie à étudier par les intellectuels : les démons s’affrontent pour déterminer quel sport est le meilleur, évidemment.
Le développeur Helltown Racketeers décrit son jeu avec la description suivante : « Incarnez un ange déchu cherchant la rédemption en punissant les adorateurs sataniques qui ne pratiquent pas le sport le plus sacré… le tennis ! » Au lieu de crânes empalés sur des piques, il y a des casques de football. La carte est jonchée de divers vêtements de sport, de terrains de hot-dogs et d’équipements d’athlètes décédés. Mon voyage dans l’arène est parrainé par des sociétés qui se sont installées dans le domaine de Satan, et c’est plein à craquer de démons en colère.
Je suis comme le Doomguy (vous savez, de Doom) mais avec une raquette de tennis au lieu d’un pistolet ou d’une tronçonneuse. Parfois, je trouve une balle de tennis et je peux la servir à travers le visage d’un monstre. Je peux récupérer d’autres améliorations sur le terrain, comme celle qui me donne une super grosse raquette de tennis pour parer plus facilement.
Le gameplay est relativement simple. Les démons tirent un projectile sur moi, et j’utilise ma raquette pour le renvoyer immédiatement, les transformant en un délicieux hamburger ou un soda pour que je puisse m’écharper et reconstituer ma santé. Si je suis submergé, je me baisse, j’esquive et je m’enfuis. À quelques reprises, le jeu m’a propulsé hors de la carte et dans le ciel, ce qui n’était certainement pas idéal, mais après un flottement rapide, j’ai pu descendre et revenir dans l’action.
Ce n’est pas exactement la version la plus traditionnelle de l’enfer – ou du tennis – mais c’est une délicieuse aventure à travers un territoire idiot. Enfer d’une raquette est sorti lundi et est disponible gratuitement sur PC Windows via Steam.