« Les adultes faisant au moins 7 000 pas par jour, par rapport à ceux faisant moins de 7 000 pas par jour, avaient environ 50 à 70% de risque de mortalité en moins », ont déclaré les chercheurs.
Les résultats n’ont pas varié entre les hommes et les femmes et les sujets d’étude noirs et caucasiens. Le groupe avec le nombre de pas le plus bas avait une proportion significativement plus élevée de femmes et de participants noirs. Ce même groupe avait également un indice de masse corporelle plus élevé et plus d’hypertension et de diabète que dans les groupes de pas modéré et élevé.
La majorité des sujets de l’étude (41%) ont enregistré entre 7 000 et 9 999 pas par jour, ce qui les place dans la fourchette modérée et les bénéficiaires de l’amélioration de 50 à 70% de la longévité. Et contrairement à l’adage selon lequel plus c’est mieux, le groupe qui a dépassé 10 000 pas par jour n’a pas récolté de réduction supplémentaire du risque de mortalité.
Quant à savoir si l’augmentation de l’intensité de la marche offrait des avantages supplémentaires pour la santé, même si le rythme semblait avoir peu d’effet, les chercheurs ont déclaré que les marcheurs rapides de leur étude faisaient le plus de pas, ce qui rend difficile de déterminer l’effet indépendant de l’intensité et du volume des pas sur longévité.
Ces résultats reflètent ceux d’études similaires qui suggèrent que nous nous rapprochons de la déclaration de 7 000 pas par jour comme objectif idéal. Mais ce n’est pas la découverte la plus convaincante concernant le nombre de pas.