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À l’été 1919, l’inspecteur Ian Rutledge de Scotland Yard cherche désespérément à retrouver son ancienne vie après quatre ans de service dans les tranchées de la Première Guerre mondiale. Lorsqu’il est affecté à une affaire dans un petit village anglais, il saute sur le chance de voir s’il a encore ce qu’il faut pour résoudre un meurtre, mais cette affaire a des complications qui pourraient mettre fin à sa carrière et le renvoyer dans un asile un homme brisé.
Le colonel Charles Harris, soldat et propriétaire terrien du Warwickshire, est tué d’un coup de fusil de chasse au visage. Le narrateur nous dit qu’il meurt dur et en colère avec un beuglement d’objection sur les lèvres. Après avoir mené l’enquête préliminaire, la gendarmerie locale se tourne vers Scotland Yard pour obtenir de l’aide. Ils ont rencontré un élément de preuve, donné par un ancien soldat choqué par les obus, qui implique le héros de guerre et le capitaine favori de Royal Mark Wilton. Ian Rutledge arrive sur les lieux et commence à rassembler des preuves. Au départ, il semble que le colonel Harris n’avait aucun ennemi parmi les habitants d’Upper Streetham, et personne ne peut imaginer qui aurait voulu le tuer.
Ian interroge Wilton, Lettice Wood, qui est la pupille de Harris et la fiancée de Wilton, un fauteur de troubles nommé Mavers et une artiste ostracisée nommée Catherine Tarrant. Tous ont une histoire à raconter, mais aucun n’en propose une complète. Ce n’est que lorsque Rutledge est capable de parler à Hickam, choqué par les obus, qu’il obtient une véritable percée sur l’affaire. Pendant ce temps, le démon interne de Rutledge, nommé Hamish McLeod, commente de manière désobligeante chaque étape franchie par Rutledge. Hamish est une voix dans la tête de Rutledge, un souvenir d’un horrible incident pendant la guerre auquel Rutledge a à peine survécu. Hamish parle régulièrement et Rutledge se demande souvent si quelqu’un d’autre peut l’entendre, même s’il sait qu’ils ne le peuvent pas. Dans tous les cas, Rutledge persiste dans un quasi-désespoir face à son incapacité à faire appel à ses anciennes compétences pour résoudre l’affaire.
Rutledge se rapproche de plus en plus d’une réponse, mais perd confiance parce qu’il construit un dossier qui ne semble pas convenir. Il trouve une poupée d’enfant dans le pré où Harris est mort. La poupée finit par être la clé de l’affaire puisque la petite fille à qui elle appartient est enfermée dans un cauchemar éveillé, ayant vu le cadavre sans tête sur son cheval, et convaincue qu’il s’agissait de son père. Avec les faits à l’esprit et tous les signes pointant vers l’héroïque capitaine Wilton, Rutledge fait une dernière tentative pour briser le chagrin de Lettice Wood. Elle révèle enfin qu’elle et le colonel Harris étaient amants, de nouveaux amants en plus. Elle n’avait passé qu’une nuit avec lui, mais ils avaient dit à Wilton que ses fiançailles avec lui étaient terminées.
Lorsque les directeurs se réunissent tous pour les funérailles, Rutledge reconstitue enfin la partie qui manque et il est presque trop tard pour sauver l’intendant du colonel Harris, Royston, d’une folle à la hache. Le colonel Harris a en fait été abattu par erreur à la place de son intendant Royston, qui avait tué un enfant vingt ans plus tôt dans un accident de voiture. Le meurtre du colonel Harris n’était qu’une vengeance, mais avait été perpétré par une femme folle sur la mauvaise cible.
Enfin, toutes les pièces s’emboîtent et la carrière de Rutledge est sauvée. Il a gagné en confiance avec ce succès, mais Hamish le hante toujours et Bowles en a pour lui. Rutledge décide qu’il doit persévérer et il ne croit pas aux fantômes.
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