Xbox s’appuie sur son nouvel accord pour amener Call of Duty sur Nintendo Switch, tandis qu’Activision Blizzard a accusé Sony d’essayer simplement de « protéger sa domination de deux décennies dans les jeux vidéo ». Ce sont les derniers arguments dans les tentatives de Microsoft pour amener les régulateurs à approuver son acquisition d’Activision Blizzard pour 69 milliards de dollars.
Les entreprises ont organisé aujourd’hui une conférence de presse à Bruxelles à la suite d’une audition à huis clos à la Commission européenne. Le vice-président et président de Microsoft, Brad Smith, s’est adressé aux médias, discutant de l’accord Call of Duty et affirmant que la vente de parties d’Activision Blizzard pour aider à faire avancer la fusion ne semble pas probable.
Microsoft acquiert Activision Blizzard : l’histoire jusqu’à présent