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Dans « The Slump », John Updike utilise le passe-temps national, le baseball, comme décor pour explorer la frustration d’un individu avec le monde. L’histoire est racontée par un joueur de balle professionnel qui se retrouve, sans raison identifiable, incapable de frapper aussi bien qu’il le faisait autrefois. Il réfléchit à pourquoi cela pourrait être, mais pas très profondément; pour la plupart, il accepte cette crise comme son destin et considère ce qu’elle dit sur la vie en général. L’histoire dépeint la nature superstitieuse des athlètes de la manière dont son narrateur espère des jours meilleurs sans avoir aucun espoir que tout ce qu’il peut faire lui ferait revenir la chance.
Les lecteurs peuvent voir dans « The Slump » le talent brut qui a fait d’Updike l’un des écrivains les plus respectés d’Amérique depuis plus d’un demi-siècle. L’histoire est méticuleusement détaillée, avec des observations précises des actions les plus apparemment non pertinentes, les élevant au niveau de l’importance. Il atteint une profondeur philosophique à laquelle la plupart des histoires aspirent. C’est cependant très différent de la plupart des fictions d’Updike. Une histoire typique d’Updike se déroule dans les relations, examinant les attentes sociales qui entourent la plupart des couples. Dans « The Slump », cependant, la relation du narrateur avec sa femme est décrite, mais elle ne fait pas partie intégrante de l’histoire. Updike est un maître pour montrer l’interaction humaine, et ici il montre qu’il peut être tout aussi efficace lors de l’écriture d’un long monologue.
« The Slump » a été initialement publié dans Écuyer en 1968. Il est actuellement disponible dans la collection 1972 de l’auteur, Musées & Femmes, et est fréquemment réimprimé dans des anthologies.
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