samedi, décembre 28, 2024

Résumé de l’homme le plus riche de Babylone et description du guide d’étude

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George S. Clason présente une série d’histoires sur les anciens Babyloniens qui visent à enseigner au lecteur des leçons sur les finances personnelles. Les histoires commencent par celle de Bansir, qui est un fabricant de chars qui lutte pour fournir le luxe que sa famille désire. Chaque chapitre s’appuie ensuite sur cette histoire initiale, réitérant les leçons passées et en introduisant de nouvelles afin que le lecteur puisse acquérir une compréhension progressive de la façon de gérer ses finances personnelles sur la base de principes simples.

La structuration des histoires par Clason permet au lecteur de parcourir progressivement les principes de base de la finance babylonienne. L’auteur commence doucement en présentant un personnage auquel le lecteur peut facilement s’identifier, Bansir. Bansir est un homme qui travaille dur mais qui a toujours l’impression qu’il ne gagne pas autant qu’il le souhaiterait et souhaite pouvoir acheter les produits les plus raffinés sur le marché pour sa famille. Le problème de Bansir est qu’il ne sait pas comment changer sa position dans la vie lorsqu’il gagne un revenu fixe et qu’il doit s’occuper de sa famille à partir de ce montant. Bansir est assez sage pour demander l’avis d’un ami qui a réalisé exactement ce à quoi Bansir aspire.

Arkad était autrefois un ouvrier subalterne comme Bansir, mais avec détermination et persévérance, il a pu améliorer son statut dans la vie jusqu’à ce qu’il détienne le titre d’homme le plus riche de Babylone. Arkad dit volontiers à Bansir le secret de son succès bien qu’il lui dise que le seul conseil ne suffit pas à rendre Bansir riche. Bansir devra apprendre à appliquer les conseils s’il veut avoir assez pour vivre le type de vie qu’il désire. L’élément de base pour ceux qui souhaitent augmenter leur richesse est le suivant : une partie de tout ce que vous gagnez vous appartient. Arkad dit à Bansir que cela signifie qu’il doit se payer au moins un dixième de tout ce qu’il gagne avant de payer ses dettes. De cette façon, Bansir pourra commencer à économiser une partie de son argent. De ce conseil de base découlent tous les autres principes de la finance babylonienne.

Les chapitres suivants racontent comment on peut guérir une bourse maigre. Arkad est à nouveau le dispensateur de cette sagesse alors qu’il passe sept jours à expliquer les sept remèdes pour une bourse maigre. Le premier remède est la sagesse originelle transmise à Bansir : économiser un dixième de ses gains. Les autres comprennent le contrôle de ses dépenses, la multiplication de son argent, la protection de son épargne contre la perte, la rentabilité de sa maison, la prévision de son avenir et l’augmentation de sa capacité à gagner de l’argent. Arkad explique chacune de ces idées à tour de rôle et longuement en donnant à ses élèves beaucoup de temps pour digérer sa signification.

Arkad dispense également les cinq lois de l’or à son fils, Nomasir. Ces cinq lois sont remarquablement similaires aux sept guérisons. Il est d’abord conseillé de mettre de côté un dixième de tous ses gains. Deuxièmement, ses économies doivent être correctement investies afin que l’argent augmente, mais cela ne doit être fait que sous l’avis d’un conseiller avisé. L’argent investi dans des pratiques inconnues ou donné à des escrocs est facilement perdu et ne devrait pas être récupéré. Ces principes sont réaffirmés dans chaque histoire car chaque histoire raconte l’histoire d’un homme qui n’a pas initialement suivi les principes et a donc perdu beaucoup d’argent.

Les derniers chapitres du livre racontent comment ces principes anciens sont encore applicables aujourd’hui. Un professeur qui a traduit un ensemble de tablettes d’argile a mis en pratique les pratiques de Dabasir pour voir si elles fonctionneraient effectivement dans la société moderne. Le professeur raconte qu’au cours d’une année, il est presque épuisé et s’attend à être complètement libéré de ses dettes d’ici une autre année. Non seulement le professeur n’a presque plus de dettes, mais sa femme et lui ont modifié leurs habitudes de dépenses pour arriver à économiser une somme coquette qu’ils ont ensuite investie. Cet investissement devrait être suffisant pour les mener à bien jusqu’à la retraite et leur permettre de voyager, comme ils l’ont toujours souhaité.

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