[ad_1]
Rhinocéros est une pièce allégorique sur la nature et les causes du totalitarisme. Bérenger regarde avec horreur tout le monde autour de lui se transformer en rhinocéros. La transformation n’est pas seulement physique ; la philosophie des rhinocéros est celle qui ramène l’homme à ses instincts brutaux de force et de justice.
La pièce commence par la rencontre de Bérenger avec son ami Jean lors de leur jour de congé. Jean est frustré par Bérenger parce qu’il ne fait rien pour améliorer sa vie : il est toujours échevelé, c’est un ivrogne, et il n’a aucune ambition dans la vie. Jean, en revanche, est l’image de l’ordre et de l’ambition mondaine. Au cours de leur conversation, deux rhinocéros sont vus – un événement sûrement étrange et terrifiant pour une « petite ville de province » quelque part en France. La ville est excitée par la nouvelle, mais la vie continue normalement. Bérenger va travailler, mais peu de temps après, un autre rhinocéros est aperçu, cette fois à l’extérieur du bureau. De toute évidence, il s’agit de l’un des employés du bureau – dont le patron supposait qu’il négligeait ses tâches professionnelles ; en quelque sorte, il est devenu un rhinocéros. Les employés s’échappent du bureau et Bérenger se dirige vers l’appartement de Jean.
Jean est tombé malade et sa voix est devenue assez rauque. Jean, généralement cordial bien qu’un peu exigeant, semble différent. Il est carrément belliqueux maintenant. Il nie la valeur de l’amitié et affirme plutôt qu’un homme doit simplement prendre ce qu’il veut et ne laisser personne se mettre en travers de son chemin. Il condamne la morale et prône un retour à la loi de nature où le fort domine le faible. Bérenger est assez choqué par le comportement insolite de son ami et tente de le faire consulter par un médecin, mais Jean s’y refuse totalement, alors même que son état continue de se détériorer. Sa peau devient plus verte par moment et commence même à devenir coriace. Sa voix, d’abord juste rauque, est si profonde que Bérenger peut à peine la comprendre. La bosse sur sa tête est en passe d’être une corne et il essaie même de l’utiliser pour gore Bérenger. Bérenger l’enferme dans sa salle de bain et court chercher de l’aide, mais découvre qu’il est maintenant entouré de rhinocéros.
Il parvient à s’échapper jusqu’à son appartement où il tient tête à Dudard, l’un de ses collègues. Il semble que pratiquement toute la ville soit devenue des rhinocéros. Alors que Bérenger est dégoûté par les rhinocéros et leur philosophie brutale, Dudard est plus sympathique. Au fur et à mesure qu’ils en discutent, Dudard se retrouve progressivement à sympathiser avec eux. Le point de rupture survient lorsque Daisy, une jolie fille blonde qui travaille à leur bureau, arrive. Ils sont tous les deux attirés par elle, mais la préférence apparente de Daisy pour Bérenger pousse Dudard à partir et à rejoindre les rhinocéros. Bérenger et Daisy développent une relation à une vitesse étonnante, s’avouant rapidement leur amour l’un pour l’autre. Pendant un certain temps, elle est une distraction des rhinocéros, mais il s’en souvient rapidement. Elle essaie de le pousser à trouver un moyen de coexister, mais il ne peut pas. Leur désaccord se termine avec son départ et Bérenger devient le dernier homme vivant, juré de résister aux rhinocéros jusqu’à la toute fin.
« The Leader » est une brève pièce de théâtre représentant les citoyens d’une nation regardant leur chef avec crainte et admiration. Ils découvrent finalement qu’il n’a pas de tête, mais ils rationalisent que cela ne veut rien dire.
Dans « L’avenir est dans les œufs », deux jeunes amants, Jacques et Roberta, sont contraints de procréer par leurs familles, désireuses de perpétuer la « race blanche » et de créer de nouveaux membres de la société industrielle.
[ad_2]
Source link -2