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La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer ce guide d’étude : Eger, Dr Edith Eva. Le choix : embrasser le possible. Scribner, 2018.
Dans le récit à la première personne, l’auteur considère sa vie avant, pendant et après l’expérience de mort imminente d’être incarcéré par les nazis vers la fin de la Seconde Guerre mondiale. Pour refléter les différentes qualités tonales et narratives de l’écriture, l’auteur sera identifiée comme « Dicuka », qui était/est son surnom au sein de sa famille, au cours des sections consacrées à son enfance, sa jeunesse et son jeune âge adulte. Elle sera également identifiée comme « l’auteur » ou « Dr. Eger » dans les sections où elle offre des commentaires et/ou un aperçu des incidents survenus plus tôt dans sa vie. En bref, « Dicuka » est la version plus jeune de l’auteur ou du Dr Eger.
Avant le début du récit du Dr Eger, il y a un prologue écrit par l’un de ses collègues, le Dr Philip Zimbardo. Il décrit sa présence lors de l’une des conférences du Dr Eger au collège où il enseigne, le développement de leur amitié et les qualités inspirantes de la façon dont elle en est venue à vivre sa vie et de ce qu’elle a à dire sur la totalité de ses expériences. .
Le récit de l’auteur est divisé en quatre parties. La première partie s’intitule « Prison » et commence par une introduction décrivant comment, de nombreuses années après son expérience réelle à Auschwitz, le Dr Eger a continué à ressentir des flashbacks sur ce qui lui était arrivé là-bas. Elle décrit également les bases de sa philosophie en tant que psychothérapeute et utilise l’exemple d’un de ses clients, un vétéran militaire nommé Jason, comme exemple de la façon dont elle applique cette philosophie.
Le récit proprement dit commence par une image de la mémoire du Dr Eger, celle d’être avec sa mère et sa sœur dans une longue file, un moment qui, selon l’auteur, résume toute sa vie. Dans le reste de la partie I, l’auteur décrit sa jeunesse en Hongrie, commentant l’inconfort apparent dans le mariage entre ses parents, le flirt de sa sœur aînée Magda et les compétences musicales de sa sœur aînée suivante, Klara. Elle décrit également comment leur vie commune a pris fin lorsque les nazis ont rassemblé des Juifs hongrois et les ont envoyés dans divers camps de concentration, dont Auschwitz, le camp dans lequel l’auteur et sa famille ont été envoyés. Le reste de la partie I détaille les diverses expériences de l’auteur pendant son séjour, en termes à la fois de souffrance et de survie.
La partie II s’intitule « Prison ». Dans ses quatre chapitres, le Dr Eger décrit à la fois les conséquences immédiates et à plus long terme de sa libération d’emprisonnement. Même les premières étapes du rétablissement prennent du temps, bien qu’elle se fasse des amis qui reviennent plus tard dans la vie et qu’elle retrouve également sa famille. Elle se marie relativement peu de temps après sa libération et a un bébé. Peu de temps après la naissance de l’enfant, cependant, elle et sa famille ressentent le besoin de quitter la Hongrie sous la pression du gouvernement communiste. Au début, ils prévoient de se rendre en Israël, mais une alternative leur est ensuite présentée lorsqu’ils apprennent qu’ils ont les bons papiers pour immigrer aux États-Unis. Ils sont confrontés à un choix difficile, celui que l’auteur fait dans un premier temps sans le soutien de son mari, Bela.
La troisième partie, intitulée « Liberté », commence par une description de l’arrivée de la famille en Amérique, Bela ayant accepté de rejoindre sa femme. La partie III est la section la plus longue du livre, décrivant les luttes de la famille alors qu’elle tente de s’intégrer dans la société américaine et de développer des vies et des identités individuelles. Ils finissent par se rendre à El Paso, au Texas, où ils réussissent leur vie. Il y a deux autres enfants, une éducation approfondie pour l’auteur alors qu’elle obtient son doctorat et des choix difficiles lorsque sa réputation de psychologue à succès l’entraîne à faire face à son traumatisme. L’une de ces rencontres l’amène finalement à revisiter Auschwitz, où elle est enfin en mesure d’atteindre un degré de paix avec son passé et sa survie de ce passé.
Dans la partie IV, intitulée « Guérison », le Dr Eger décrit les différentes manières dont elle a puisé dans son passé dans le cadre de son travail de thérapeute. Elle décrit également les façons dont le travail avec ses divers patients lui en a appris davantage sur elle-même et sur la façon de trouver une valeur positive dans ses expériences négatives. La quatrième partie et le livre se terminent tous deux par un chapitre intitulé « Jour de la libération », dans lequel le Dr Eger décrit avoir prononcé un discours devant un groupe de militaires appartenant à la même unité qui l’a libérée de son emprisonnement. Elle conclut son histoire par une adresse directe au lecteur, l’exhortant à trouver sa propre façon de choisir d’être libre.
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